Thomas Dietrich avait été arrêté dimanche 14 janvier dans un hôtel de Kipé, en banlieue de Conakry, alors qu'il "enquêtait sur la Société Nationale des Pétroles (SONAP)", selon plusieurs sources.
Selon le journaliste Facely Konaté qui a donné l'alerte, "depuis quelques jours, il séjourne dans le pays dans le cadre d'une enquête sur la Société Nationale des Pétroles (SONAP)". Une source ajoute qu'il s'intéresserait aussi aux patrimoines de certains dirigeants de la transition de Guinée.
Aux dernières informations, on apprend que le journaliste qui n'est pas à ses premiers ennuis avec les régimes guinéens. Au temps du président Alpha Condé, Dietrich avait été arrêté et expulsé en mars 2020 vers la France.
"Je suis français et fier de l'être. Je fais mienne l'ensemble des valeurs républicaines. Et c'est notamment parce que je m'enorgueillis de la terre qui m'a vu naître que je m'insurge contre l'action de nos gouvernants sur le sol africain. Mes prises de position sont tranchées, certes : elles réclament la fin du soutien de l'Élysée aux tyrans du continent, la sortie du franc CFA, cette monnaie d'inspiration coloniale ou encore le départ de l'armée française du Sahel pour être remplacée par des armées africaines, bien plus légitimes. Mon militantisme, même s'il prend une forme concrète par-delà la Méditerranée, ne m'a jamais amené à user d'autres armes que ma plume", disait-il dans le journal Libération.
Selon le journaliste Facely Konaté qui a donné l'alerte, "depuis quelques jours, il séjourne dans le pays dans le cadre d'une enquête sur la Société Nationale des Pétroles (SONAP)". Une source ajoute qu'il s'intéresserait aussi aux patrimoines de certains dirigeants de la transition de Guinée.
Aux dernières informations, on apprend que le journaliste qui n'est pas à ses premiers ennuis avec les régimes guinéens. Au temps du président Alpha Condé, Dietrich avait été arrêté et expulsé en mars 2020 vers la France.
"Je suis français et fier de l'être. Je fais mienne l'ensemble des valeurs républicaines. Et c'est notamment parce que je m'enorgueillis de la terre qui m'a vu naître que je m'insurge contre l'action de nos gouvernants sur le sol africain. Mes prises de position sont tranchées, certes : elles réclament la fin du soutien de l'Élysée aux tyrans du continent, la sortie du franc CFA, cette monnaie d'inspiration coloniale ou encore le départ de l'armée française du Sahel pour être remplacée par des armées africaines, bien plus légitimes. Mon militantisme, même s'il prend une forme concrète par-delà la Méditerranée, ne m'a jamais amené à user d'autres armes que ma plume", disait-il dans le journal Libération.