Loin d'être une offense, mais les bonnes manières de vivre en milieu urbain échappent à plusieurs N'djaménoise d'où une nécessité d'éduquer, de sensibiliser la population sur les règles de vivre en lieu urbain, qui sont entre : porter attention à son voisin, prendre soin de la propreté de l'espace public, éviter de troubler la tranquillité publique, le respect de code de la route pour mieux faciliter la circulation à l'autrui pour ne citer que ceux-là.
Cependant, cette rééducation consiste à couvrir l'ensemble des besoins de la population en terme de santé, de protection d'environnement, de l'hygiène alimentaire de pratique de sport en un mot pour le bien être physique, mentale des citoyens. Malheureusement, le constat le plus amère dans la ville de N'djaména, ils existent des personnes qui déposent des ordures ménagères sur la voie publique, ceux qui défèquent à l'air libre, bloquent le passage des eaux pendant la période de pluie et bien d'autres comportements qui sont contraire aux bonnes manières de la vie en milieu urbain. Si aujourd'hui certains quartiers, la présence de moustiques et mouches sont permanantes. C'est à cause de la saleté. Sinon rien peut justifier cela.
Comment peut-on parler de vivre en ville, si celle-ci n'est pas dotée des règles ? Comment peut-on expliquer qu'au 21e siècle, ils existent des catégories des personnes en milieu urbain, qui ne respectent pas le feu de circulation, les clignotants, les klaxons des motocycles et automobilistes? Des interrogations qui nécessite une réflexion. À celà s'ajouter, des usagers qui roulent au sens inverse de la route. Toutefois, la règle de vie est aussi un concept religieux dont le livre saint dixit "Tu aimeras ton prochain comme toi-même". Une parole qui est aujourd'hui une règle d'or occidentale.
Même si certains observateurs pensent que nous avons une mentalité en retard, loin de culture occidentale au sens de respect d'autrui et de la chose publique et d'hygiène. Il est clair et sans doute que vivre en ville est une autre école.
Si bien que, N'djaména est une ville médiocre en terme d'urbanisation. Sa population est loin de refléter l'image des citoyens aptent pour la vie en milieu urbain. Cependant, dans les différents marchés de la capitale, les aliments sont étalés à même le sol. Les aliments prêts à consommer sont sans couvert. Mais cela ne nous dit absolument rien. En réalité c'est une question d'ignorance.
Face à la démographie et aux réchauffements climatiques, le civisme élémentaire tels que: le respect des autres, des espaces publics et privés, de l'environnement ne sont pas à négliger. Malheureusement, pour une population 80% moins instruits, la question de l'environnement n'est pas important.
C'est pourquoi, la municipalité en tant que magistrat de la ville doit rappeler aux citoyens les bonnes manières de vivre en ville. Ceux qui enfreint aux règles doivent être sanctionnée. Comme le dit l'ex président américain Barack Obama "nous pouvons changer". Si les autorités municipales sont conscients, que construire une ville, c'est éduquer sa population.
Cependant, cette rééducation consiste à couvrir l'ensemble des besoins de la population en terme de santé, de protection d'environnement, de l'hygiène alimentaire de pratique de sport en un mot pour le bien être physique, mentale des citoyens. Malheureusement, le constat le plus amère dans la ville de N'djaména, ils existent des personnes qui déposent des ordures ménagères sur la voie publique, ceux qui défèquent à l'air libre, bloquent le passage des eaux pendant la période de pluie et bien d'autres comportements qui sont contraire aux bonnes manières de la vie en milieu urbain. Si aujourd'hui certains quartiers, la présence de moustiques et mouches sont permanantes. C'est à cause de la saleté. Sinon rien peut justifier cela.
Comment peut-on parler de vivre en ville, si celle-ci n'est pas dotée des règles ? Comment peut-on expliquer qu'au 21e siècle, ils existent des catégories des personnes en milieu urbain, qui ne respectent pas le feu de circulation, les clignotants, les klaxons des motocycles et automobilistes? Des interrogations qui nécessite une réflexion. À celà s'ajouter, des usagers qui roulent au sens inverse de la route. Toutefois, la règle de vie est aussi un concept religieux dont le livre saint dixit "Tu aimeras ton prochain comme toi-même". Une parole qui est aujourd'hui une règle d'or occidentale.
Même si certains observateurs pensent que nous avons une mentalité en retard, loin de culture occidentale au sens de respect d'autrui et de la chose publique et d'hygiène. Il est clair et sans doute que vivre en ville est une autre école.
Si bien que, N'djaména est une ville médiocre en terme d'urbanisation. Sa population est loin de refléter l'image des citoyens aptent pour la vie en milieu urbain. Cependant, dans les différents marchés de la capitale, les aliments sont étalés à même le sol. Les aliments prêts à consommer sont sans couvert. Mais cela ne nous dit absolument rien. En réalité c'est une question d'ignorance.
Face à la démographie et aux réchauffements climatiques, le civisme élémentaire tels que: le respect des autres, des espaces publics et privés, de l'environnement ne sont pas à négliger. Malheureusement, pour une population 80% moins instruits, la question de l'environnement n'est pas important.
C'est pourquoi, la municipalité en tant que magistrat de la ville doit rappeler aux citoyens les bonnes manières de vivre en ville. Ceux qui enfreint aux règles doivent être sanctionnée. Comme le dit l'ex président américain Barack Obama "nous pouvons changer". Si les autorités municipales sont conscients, que construire une ville, c'est éduquer sa population.