Drapeau national en berne, diffusion de la musique funèbre sur les ondes ;voilà les traits caractéristiques de la journée de deuil national consécutive à la barbarie du Pool où 21personnes ont péri à la suite des incidents malheureux survenus dans le département du Pool,orchestrés par le pasteur Ntoumi et ses ex-combattants.
La cérémonie d’hommage officiel y relative a débuté par le recueillement de corps constitués nationaux et internationaux par le dépôt des gerbes de fleurs sur les chariots des18 dépouilles mortelles. Un instant plein d'émotion et de consternation.
Dans son oraison funèbre, le premier ministre Clément Mouamba, a parlé d’un désastre effroyable, car Ntumi et les terroristes ninjas, nsiloulous viennent d’écrire en lettre de sang l’histoire du Congo qu’ils espèrent diriger.
Ils ont semé la terreur, a-t-il martelé, les 28 et 29 septembre 2016 entre les villages Voula et Tabac en attaquant à main armée, respectivement un bus en commun et une ambulance et le 30 septembre au pk 350, entre les gares Loulombo et Kinkembo.
Le premier ministre a attiré l’attention de « ceux qui apportent le soutien à Ntumi à coût de tapage médiatique de se mettre à l’évidence des faits d’une barbarie humaine avérée. »
Tout en soutenant que la force publique à les moyens de vaincre Ntumi, Clement Mouamba d’un ton sévère a dit que « toute demande de dialogue dans le sang n’a aucune crédibilité. »
Un office religieux spécial et la présentation des condoléances du couple présidentionnel aux familles éprouvées ont sanctionné cette cérémonie d’hommage et de recueillement avant la conduite des victimes à leur dernière demeure sise au cimétière du centre-ville.
La cérémonie d’hommage officiel y relative a débuté par le recueillement de corps constitués nationaux et internationaux par le dépôt des gerbes de fleurs sur les chariots des18 dépouilles mortelles. Un instant plein d'émotion et de consternation.
Dans son oraison funèbre, le premier ministre Clément Mouamba, a parlé d’un désastre effroyable, car Ntumi et les terroristes ninjas, nsiloulous viennent d’écrire en lettre de sang l’histoire du Congo qu’ils espèrent diriger.
Ils ont semé la terreur, a-t-il martelé, les 28 et 29 septembre 2016 entre les villages Voula et Tabac en attaquant à main armée, respectivement un bus en commun et une ambulance et le 30 septembre au pk 350, entre les gares Loulombo et Kinkembo.
Le premier ministre a attiré l’attention de « ceux qui apportent le soutien à Ntumi à coût de tapage médiatique de se mettre à l’évidence des faits d’une barbarie humaine avérée. »
Tout en soutenant que la force publique à les moyens de vaincre Ntumi, Clement Mouamba d’un ton sévère a dit que « toute demande de dialogue dans le sang n’a aucune crédibilité. »
Un office religieux spécial et la présentation des condoléances du couple présidentionnel aux familles éprouvées ont sanctionné cette cérémonie d’hommage et de recueillement avant la conduite des victimes à leur dernière demeure sise au cimétière du centre-ville.