« Je suis peut-être la première, mais je ne veux pas être la dernière. » Cette remarque d’Akhona Qengqe lance une liste inaugurale de premières féminines à travers l’Afrique à l’occasion de la Journée internationale de la femme 2024.
Chacune des 53 femmes sur la liste de KFC Africa, une pour chaque année d’activité de l’entreprise en Afrique, a surpassé des obstacles éducationnels, politiques, sociaux et financiers. Et elles ont dû bien souvent briser le plafond de verre pour réaliser quelque chose qu’aucune femme n’avait encore pu accomplir dans leur pays.
Elles sont originaires des 23 pays subsahariens dans lesquels KFC a des restaurants et parmi elles figurent notamment Esperança da Costa, la première vice-présidente de l’Angola, et Sedia Sanogo, qui sera la capitaine de la première équipe de boxe de la Côte d'Ivoire aux Jeux Olympiques de Paris cette année.
« Il s’agit d’une liste remplie de preuves d’espoir et de possibilités », déclare Akhona Qengqe, directrice générale, KFC Africa. « Voir ce qu’une autre personne a accompli, en particulier lorsqu’elle a été confrontée aux mêmes défis que vous, peut s’avérer être une profonde source d’inspiration. »
Qengqe a grandi à Mthatha dans le Cap-Oriental, où elle a été confrontée aux innombrables défis qui attendent la plupart des femmes marginalisées, et où elle a su s’imposer en devenant la première directrice générale noire de KFC Africa. « Avant toute chose, dans une entreprise où 60 % des 40 000 employés sont des femmes, une directrice est plus représentative de la majorité du personnel. Être capable d’assumer ce poste et de représenter les autres est ce qui donne un véritable sens à ce travail », déclare-t-elle.
Pour Qengqe, cela passe par une soif d’autonomisation, de diversité et d’inclusion, des valeurs qu’elle est convaincue de partager avec KFC et ses « premières féminines », une liste que l’entreprise projette d’étoffer chaque année avec l’aide du public et de ses clients. « J’ai quatre enfants, je suis une femme, je suis africaine et je suis à la tête d’une grande entreprise. Je suis une pionnière, tout comme les 53 femmes a qui nous rendons hommage à l’occasion de cette Journée internationale de la femme. Nous avons hâte de voir cette liste s’allonger. »
Avec pour thème « Inspirer l’inclusion », les organisateurs de la Journée internationale de la femme de cette année déclarent que « lorsque nous inspirons autrui à comprendre et à valoriser l’inclusion des femmes, nous façonnons un monde meilleur. Et lorsque les femmes elles-mêmes sont inspirées à être incluses, il s’en dégage un sentiment d’appartenance, de pertinence et d’autonomisation ».
Ce sentiment a renforcé la détermination de Qengqe à faire de KFC l’enseigne de restauration rapide la plus inclusive en Afrique depuis qu’elle a intégré l’entreprise en 2015 au poste de directrice du développement. Parmi les initiatives lancées figurent KFC Add Hope, un programme dirigé par les femmes qui sert plus de 30 millions de repas gratuits à des dizaines de milliers d’enfants chaque année. En 2021, elle a lancé Women on the Move, qui prépare les femmes travaillant chez KFC à de futurs postes de direction.
Nolo Thobejane, Chief People and Transformation Officer, déclare que l’impact du programme a été exponentiel : « Nous avons étendu sa portée encore plus loin avec notre réseau Women on the Move Extended Network (WOM.XN), qui rassemble des femmes du monde entier, à tous les niveaux. Tout le monde a besoin d’avoir un sentiment d’appartenance et de savoir qu’une carrière les attend ici. Tout le monde a besoin de savoir qu’il est possible d’atteindre son plein potentiel dans la vie ».
Thobejane est tout aussi fière de la Streetwise Academy, qui lutte contre le chômage des jeunes dans les zones où KFC opère. « Un pourcentage élevé de jeunes ne font pas d’études. C’est donc pour cela que l’académie, qui est accréditée National Qualifications Framework, les accompagne pour leur inscription et l’obtention de leur diplôme. Bien plus de la moitié de nos étudiants sont des femmes. » L’entreprise propose également KFC Mini Cricket, le plus important programme populaire de sport en Afrique du Sud qui donne à 120 000 filles et garçons âgés de trois à 12 ans l’occasion d’avancer dans la vie sur un pied d’égalité. Et 60 % des 13 000 entraîneurs sont des femmes.
Chacune des 53 femmes sur la liste de KFC Africa, une pour chaque année d’activité de l’entreprise en Afrique, a surpassé des obstacles éducationnels, politiques, sociaux et financiers. Et elles ont dû bien souvent briser le plafond de verre pour réaliser quelque chose qu’aucune femme n’avait encore pu accomplir dans leur pays.
Elles sont originaires des 23 pays subsahariens dans lesquels KFC a des restaurants et parmi elles figurent notamment Esperança da Costa, la première vice-présidente de l’Angola, et Sedia Sanogo, qui sera la capitaine de la première équipe de boxe de la Côte d'Ivoire aux Jeux Olympiques de Paris cette année.
« Il s’agit d’une liste remplie de preuves d’espoir et de possibilités », déclare Akhona Qengqe, directrice générale, KFC Africa. « Voir ce qu’une autre personne a accompli, en particulier lorsqu’elle a été confrontée aux mêmes défis que vous, peut s’avérer être une profonde source d’inspiration. »
Qengqe a grandi à Mthatha dans le Cap-Oriental, où elle a été confrontée aux innombrables défis qui attendent la plupart des femmes marginalisées, et où elle a su s’imposer en devenant la première directrice générale noire de KFC Africa. « Avant toute chose, dans une entreprise où 60 % des 40 000 employés sont des femmes, une directrice est plus représentative de la majorité du personnel. Être capable d’assumer ce poste et de représenter les autres est ce qui donne un véritable sens à ce travail », déclare-t-elle.
Pour Qengqe, cela passe par une soif d’autonomisation, de diversité et d’inclusion, des valeurs qu’elle est convaincue de partager avec KFC et ses « premières féminines », une liste que l’entreprise projette d’étoffer chaque année avec l’aide du public et de ses clients. « J’ai quatre enfants, je suis une femme, je suis africaine et je suis à la tête d’une grande entreprise. Je suis une pionnière, tout comme les 53 femmes a qui nous rendons hommage à l’occasion de cette Journée internationale de la femme. Nous avons hâte de voir cette liste s’allonger. »
Avec pour thème « Inspirer l’inclusion », les organisateurs de la Journée internationale de la femme de cette année déclarent que « lorsque nous inspirons autrui à comprendre et à valoriser l’inclusion des femmes, nous façonnons un monde meilleur. Et lorsque les femmes elles-mêmes sont inspirées à être incluses, il s’en dégage un sentiment d’appartenance, de pertinence et d’autonomisation ».
Ce sentiment a renforcé la détermination de Qengqe à faire de KFC l’enseigne de restauration rapide la plus inclusive en Afrique depuis qu’elle a intégré l’entreprise en 2015 au poste de directrice du développement. Parmi les initiatives lancées figurent KFC Add Hope, un programme dirigé par les femmes qui sert plus de 30 millions de repas gratuits à des dizaines de milliers d’enfants chaque année. En 2021, elle a lancé Women on the Move, qui prépare les femmes travaillant chez KFC à de futurs postes de direction.
Nolo Thobejane, Chief People and Transformation Officer, déclare que l’impact du programme a été exponentiel : « Nous avons étendu sa portée encore plus loin avec notre réseau Women on the Move Extended Network (WOM.XN), qui rassemble des femmes du monde entier, à tous les niveaux. Tout le monde a besoin d’avoir un sentiment d’appartenance et de savoir qu’une carrière les attend ici. Tout le monde a besoin de savoir qu’il est possible d’atteindre son plein potentiel dans la vie ».
Thobejane est tout aussi fière de la Streetwise Academy, qui lutte contre le chômage des jeunes dans les zones où KFC opère. « Un pourcentage élevé de jeunes ne font pas d’études. C’est donc pour cela que l’académie, qui est accréditée National Qualifications Framework, les accompagne pour leur inscription et l’obtention de leur diplôme. Bien plus de la moitié de nos étudiants sont des femmes. » L’entreprise propose également KFC Mini Cricket, le plus important programme populaire de sport en Afrique du Sud qui donne à 120 000 filles et garçons âgés de trois à 12 ans l’occasion d’avancer dans la vie sur un pied d’égalité. Et 60 % des 13 000 entraîneurs sont des femmes.