"Pour nous, ces gens sont des simples bandits, nous allons les chasser et les dégager, même s'il en reste un, nous allons le dégager. Nous, forces armées tchadiennes, nous sommes là, nuit et jour. Nous irons jusqu'à Maidugri, jusqu'à Baga, jusqu'au fin fond du Nigeria, même s'il reste un combattant de Boko Haram, nous n'allons pas le laisser", affirme un haut gradé de l'armée tchadienne sur les antennes de la Télé Tchad.
Du côté du Nigeria, ce n'est pas le même langage et on s'obstine à dire que les forces tchadiennes, étant en territoire étranger, doivent se conformer aux règles de l'armée nigériane. Sur le front, l'armée tchadienne s'impatiente et regrette que le premier contact avec "ces bandits de Boko Haram" ait été retardé ; En effet, les combattants de Boko Haram se sont évaporés dans la nature pendant que l'armée tchadienne se déployait, en particulier dans les zones au Nord du Cameroun.
Le Tchad attend un feu vert
Pour protéger ses frontières avec les trois pays (Cameroun, Nigeria, Niger), le Tchad a décidé, à la demande du Cameroun de déployer une force de trois milles hommes bien équipés, tandis que le quartier général de la force régionale chargée de combattre Boko Haram a été transféré au Tchad. Ce pays attend toujours un feu vert du Nigeria pour reprendre la ville de Baga où Boko Haram responsable des massacres d'environ 2000 personnes.
Du côté du Nigeria, ce n'est pas le même langage et on s'obstine à dire que les forces tchadiennes, étant en territoire étranger, doivent se conformer aux règles de l'armée nigériane. Sur le front, l'armée tchadienne s'impatiente et regrette que le premier contact avec "ces bandits de Boko Haram" ait été retardé ; En effet, les combattants de Boko Haram se sont évaporés dans la nature pendant que l'armée tchadienne se déployait, en particulier dans les zones au Nord du Cameroun.
Le Tchad attend un feu vert
Pour protéger ses frontières avec les trois pays (Cameroun, Nigeria, Niger), le Tchad a décidé, à la demande du Cameroun de déployer une force de trois milles hommes bien équipés, tandis que le quartier général de la force régionale chargée de combattre Boko Haram a été transféré au Tchad. Ce pays attend toujours un feu vert du Nigeria pour reprendre la ville de Baga où Boko Haram responsable des massacres d'environ 2000 personnes.