Le Quotidien du Peuple a publié un article ce 30 juin 2016, soulignant que le tribunal arbitral, sollicité par les Philippines, n’avait pas de légitimité, et que la Chine n’acceptera aucune réclamation ou actions infondées, étant déterminée à défendre vigoureusement sa souveraineté territoriale et ses intérêts en mer de Chine du Sud.
Le 29 juin 2016, le tribunal arbitral établi unilatéralement par les Philippines a annoncé la publication le mardi 12 juillet de son verdict final. L’article du Quotidien du Peuple a fait remarquer que le battage médiatique d’une Cour de justice sans la moindre légitimité montre bien la volonté d’être l’outil politique d’un certain pays, et le fait que cet établissement temporaire viole le droit international avec confusion et embarras.
L’appel infondé des Philippines concerne des questions liées au territoire et à la délimitation maritime. Mais les deux nations ont déjà choisi de résoudre leurs différends par le biais de négociations et consultations. Les questions territoriales ne se soumettent pas à la «Convention des Nations Unis sur le droit de la mer». La Chine a déjà annoncé en 2006 son attention de s’exclure de l’arbitrage conformément à l’article 298, un élément majeur ignoré par le tribunal arbitral, qui veut aller bien au delà de ses propres compétences.
A l’heure actuelle, l’opinion publique sur cette affaire est de plus en plus objective et impartiale. De plus en plus de pays et d’organisations internationales ont exprimé leur mécontentement envers ce tribunal qui fausse les faits et manipule la jurisprudence. Même dans certains pays occidentaux favorables à l’arbitrage, un grand nombre de chercheurs objectifs et neutres ont fait part de leurs critiques et contestations sur ce cas.
La Chine respecte la primauté du droit international dans toutes ses actions, maintenant strictement les règles internationales et régionales. Depuis le 22 janvier 2013 où les Philippines ont demandé un arbitrage unilatéral, le gouvernement chinois a insisté à plusieurs reprises sur sa volonté de résoudre les différends des deux pays sur cette zone maritime par le biais de négociations, sur sa position de ni l’accepter ni participer à l'arbitrage, et de ne pas accepter le résultat illégal .
La détermination chinoise à sauvegarder sa souveraineté territoriale et ses intérêts maritimes reste ferme. Toute tentative contre la souveraineté territoriale et les intérêts maritimes de la Chine par le biais de l'arbitrage illégal est une illusion. Le pays est prêt à défendre vigoureusement sa souveraineté et ses droits sur la mer de Chine du Sud, et devant une responsabilité du maintien de la paix et stabilité dans la région et de l’ordre international existant.
(Source : Le Quotidien du Peuple)
Le 29 juin 2016, le tribunal arbitral établi unilatéralement par les Philippines a annoncé la publication le mardi 12 juillet de son verdict final. L’article du Quotidien du Peuple a fait remarquer que le battage médiatique d’une Cour de justice sans la moindre légitimité montre bien la volonté d’être l’outil politique d’un certain pays, et le fait que cet établissement temporaire viole le droit international avec confusion et embarras.
L’appel infondé des Philippines concerne des questions liées au territoire et à la délimitation maritime. Mais les deux nations ont déjà choisi de résoudre leurs différends par le biais de négociations et consultations. Les questions territoriales ne se soumettent pas à la «Convention des Nations Unis sur le droit de la mer». La Chine a déjà annoncé en 2006 son attention de s’exclure de l’arbitrage conformément à l’article 298, un élément majeur ignoré par le tribunal arbitral, qui veut aller bien au delà de ses propres compétences.
A l’heure actuelle, l’opinion publique sur cette affaire est de plus en plus objective et impartiale. De plus en plus de pays et d’organisations internationales ont exprimé leur mécontentement envers ce tribunal qui fausse les faits et manipule la jurisprudence. Même dans certains pays occidentaux favorables à l’arbitrage, un grand nombre de chercheurs objectifs et neutres ont fait part de leurs critiques et contestations sur ce cas.
La Chine respecte la primauté du droit international dans toutes ses actions, maintenant strictement les règles internationales et régionales. Depuis le 22 janvier 2013 où les Philippines ont demandé un arbitrage unilatéral, le gouvernement chinois a insisté à plusieurs reprises sur sa volonté de résoudre les différends des deux pays sur cette zone maritime par le biais de négociations, sur sa position de ni l’accepter ni participer à l'arbitrage, et de ne pas accepter le résultat illégal .
La détermination chinoise à sauvegarder sa souveraineté territoriale et ses intérêts maritimes reste ferme. Toute tentative contre la souveraineté territoriale et les intérêts maritimes de la Chine par le biais de l'arbitrage illégal est une illusion. Le pays est prêt à défendre vigoureusement sa souveraineté et ses droits sur la mer de Chine du Sud, et devant une responsabilité du maintien de la paix et stabilité dans la région et de l’ordre international existant.
(Source : Le Quotidien du Peuple)