Le burkini est un maillot de bain ab initio créé par la styliste australienne d'origine libanaise Aheda Zanetti qui l'avait conçu pour permettre aux femmes musulmanes qui portent le hijab de nager confortablement dans une tenue conforme à leurs valeurs islamiques.
Les salafistes et le reste des adeptes de l'islam radical l'ont jugé "impudique" et non-conforme aux préceptes de l'Islam. Ils ont lancé de nombreuses campagnes que ça soit sur Facebook ou sur Twitter et le reste des réseaux sociaux pour dénoncer son port et stigmatiser les femmes qui le portent.
En plus, dans les différents courants de l'islam radical, la mixité, c'est-à-dire la présence des femmes dans un même milieu où il y'a des hommes étrangers, est interdite. Pareil pour la pratique de la natation par les femmes. Cet islam interdit aux femmes de nager que ça soit dans une piscine, une rivière ou une plage, etc.
La philosophie du burkini est donc l'opposée de cette idéologie extrémiste. Elle est une philosophie au service du vrai Islam ou ce que certains appellent l'islam modéré, qui permet aux musulmanes de bien-vivre leur vie. Elle montre qu'Islam et extrémisme sont un oxymore.
Et c'est ça qui dérange Jean-François Luc, Emmanuel Crenne, David Rachline, Nadine Morano, Yves Moraine et le reste des politiciens français qui se cachent derrière cette campagne anti-burkini. C'est ça qui les pousse à créer ce genre d'amalgames "Hijab = Terrorisme", "Burkini = Islam radical", blabla blabla.
Ces politiciens ne veulent pas que l'Islam soit vu comme une religion compatible avec la belle-vie. Ils veulent que cette religion soit tout le temps mal-vue et mal-jugée pour que leur culture règne. Pour cela, ils font tout ce qu'ils peuvent pour diaboliser l'Islam et stigmatiser ses adeptes.
Ce qu'ils sont en train de faire s'inscrit dans le cadre de l'impérialisme culturel : une politique raciste pratiquée par un Etat ou un groupe de personnes qui tendent à imposer la souveraineté de leur culture commune perçue comme "supérieure" à d'autres Etats ou autres groupes qui adhèrent à d'autres cultures jugées "inférieures" ou "méprisables".
Cette tendance culturelle expansionniste peut prendre la forme d'une attitude adoptée par un ensemble de penseurs, politiciens, économistes, militaires, etc., qui adhèrent à la même culture et qui visent l'ethnocide des autres cultures concurrentes par l'utilisation de tous les moyens possibles pour réussir leur mission… peu importe qu'ils soient moraux ou non.
Parmi leurs moyens : les mensonges idéologiques, les falsifications historiques et les pressions politiques, économiques, médiatiques, militaires, etc. Tout ça, ils l'emploient pour faciliter l'assimilation des autres peuples ou autres groupes sociaux et réussir la domination et la mondialisation de leur culture.
Les occidentalistes, adeptes de cet impérialisme culturel, il faut se méfier d'eux. Ils ne sont différents des terroristes de DAECH et du reste des groupements de la Salafiya Djihadiya que sur la forme. S'ils se trouvent un jour dans une position de force, ils ne vont pas hésiter une seule seconde à commettre un génocide pour réussir l'ethnocide des cultures conquérantes.
Les salafistes et le reste des adeptes de l'islam radical l'ont jugé "impudique" et non-conforme aux préceptes de l'Islam. Ils ont lancé de nombreuses campagnes que ça soit sur Facebook ou sur Twitter et le reste des réseaux sociaux pour dénoncer son port et stigmatiser les femmes qui le portent.
En plus, dans les différents courants de l'islam radical, la mixité, c'est-à-dire la présence des femmes dans un même milieu où il y'a des hommes étrangers, est interdite. Pareil pour la pratique de la natation par les femmes. Cet islam interdit aux femmes de nager que ça soit dans une piscine, une rivière ou une plage, etc.
La philosophie du burkini est donc l'opposée de cette idéologie extrémiste. Elle est une philosophie au service du vrai Islam ou ce que certains appellent l'islam modéré, qui permet aux musulmanes de bien-vivre leur vie. Elle montre qu'Islam et extrémisme sont un oxymore.
Et c'est ça qui dérange Jean-François Luc, Emmanuel Crenne, David Rachline, Nadine Morano, Yves Moraine et le reste des politiciens français qui se cachent derrière cette campagne anti-burkini. C'est ça qui les pousse à créer ce genre d'amalgames "Hijab = Terrorisme", "Burkini = Islam radical", blabla blabla.
Ces politiciens ne veulent pas que l'Islam soit vu comme une religion compatible avec la belle-vie. Ils veulent que cette religion soit tout le temps mal-vue et mal-jugée pour que leur culture règne. Pour cela, ils font tout ce qu'ils peuvent pour diaboliser l'Islam et stigmatiser ses adeptes.
Ce qu'ils sont en train de faire s'inscrit dans le cadre de l'impérialisme culturel : une politique raciste pratiquée par un Etat ou un groupe de personnes qui tendent à imposer la souveraineté de leur culture commune perçue comme "supérieure" à d'autres Etats ou autres groupes qui adhèrent à d'autres cultures jugées "inférieures" ou "méprisables".
Cette tendance culturelle expansionniste peut prendre la forme d'une attitude adoptée par un ensemble de penseurs, politiciens, économistes, militaires, etc., qui adhèrent à la même culture et qui visent l'ethnocide des autres cultures concurrentes par l'utilisation de tous les moyens possibles pour réussir leur mission… peu importe qu'ils soient moraux ou non.
Parmi leurs moyens : les mensonges idéologiques, les falsifications historiques et les pressions politiques, économiques, médiatiques, militaires, etc. Tout ça, ils l'emploient pour faciliter l'assimilation des autres peuples ou autres groupes sociaux et réussir la domination et la mondialisation de leur culture.
Les occidentalistes, adeptes de cet impérialisme culturel, il faut se méfier d'eux. Ils ne sont différents des terroristes de DAECH et du reste des groupements de la Salafiya Djihadiya que sur la forme. S'ils se trouvent un jour dans une position de force, ils ne vont pas hésiter une seule seconde à commettre un génocide pour réussir l'ethnocide des cultures conquérantes.