Depuis la tuerie d’Obock le 30 décembre dernier où un collégien de 13 ans a été fauché par des balles tirées par un gendarme, et une vingtaine d’autres blessés, les manifestations des jeunes ont eu lieu un peu partout en République de Djibouti.
Le 1er et 2 janvier à Tadjourah, à Dikhil, à Arhiba et à Balbala, le 5 , 6 et 7 janvier aux quartiers 3, 5 et 6, des jeunes ont manifesté en solidarité avec les habitants d’Obock et pour protester contre les agissements inqualifiables des forces de l’ordre.
Le 9 janvier, une délégation du pouvoir de Djibouti (rassemblement pour le progrès ) composée de M. HASSAN OMAR MOHAMED, ministre de l’Habitat,, Mme. ZARAH YOUSSOUF KAYAD secrétaire d’Etat chargé de la Solidarité Nationale et de M Houssein Idriss dit Sékou Touré, du bureau politique du parti unique RPP ( (rassemblement pour le progrès) , venu pour un meeting ont été séquestré dans le local du parti à Arhiba de 19h à 21h, par des jeunes en colère contre ce qui s’est passé à Obock. Trois camions de police ont été dépêches à Arhiba, mais devant la détermination et le nombre impressionnant des jeunes (plus de 2000), les policiers ont attendu que les dignitaires du régime soient libérés.
Plusieurs autres quartiers avaient déjà éconduit les représentants du pouvoir.
Le 1er et 2 janvier à Tadjourah, à Dikhil, à Arhiba et à Balbala, le 5 , 6 et 7 janvier aux quartiers 3, 5 et 6, des jeunes ont manifesté en solidarité avec les habitants d’Obock et pour protester contre les agissements inqualifiables des forces de l’ordre.
Le 9 janvier, une délégation du pouvoir de Djibouti (rassemblement pour le progrès ) composée de M. HASSAN OMAR MOHAMED, ministre de l’Habitat,, Mme. ZARAH YOUSSOUF KAYAD secrétaire d’Etat chargé de la Solidarité Nationale et de M Houssein Idriss dit Sékou Touré, du bureau politique du parti unique RPP ( (rassemblement pour le progrès) , venu pour un meeting ont été séquestré dans le local du parti à Arhiba de 19h à 21h, par des jeunes en colère contre ce qui s’est passé à Obock. Trois camions de police ont été dépêches à Arhiba, mais devant la détermination et le nombre impressionnant des jeunes (plus de 2000), les policiers ont attendu que les dignitaires du régime soient libérés.
Plusieurs autres quartiers avaient déjà éconduit les représentants du pouvoir.