Le Président soudanais Omar Hassan El Béchir aurait quitté l'Afrique du sud? Une source soudanais sous couvert de l'anonymat a indiqué que le Président soudanais aurait réussi à échappé à la justice sud africaine en quittant le territoire sud africain, grâce à l'aide des autorités politiques sud africaines. A Khartoum, les autorités ont appelé les soudanais à se diriger vers l'aéroport en masse pour accueillir Omar Hassan El Béchir qui arriverait aux environs de 14 heures, ce qui laisse supposer qu'il a déjà quitté le territoire sud africain.
Dimanche, la justice sud africaine a instruit tous les aéroports d'interdire le président soudanais de quitter le territoire. L'objectif est de statuer sur son sort après la demande de la CPI visant son arrestation et son transfert pour répondre aux accusations de génocide dans le Darfour. "le président Elbéchir jouit d'une immunité et il y a beaucoup au monde des responsables ayant commis des crimes sans être poursuivis", a déclaré, dimanche soir, à i24 News, le ministre soudanais des affaires étrangères.
Le bras de fer oppose les autorités politiques sud africaines à celles du droit qui ont, après la saisine d'une ONG, interdit, dimanche 14 juin au président soudanais Omar el-Béchir de quitter le pays tant que la justice n’aura pas statué sur la demande d’arrestation formulée par la CPI, indique un jugement publié dans la matinée de dimanche. L’affaire qui, normalement devait être examinée en urgence dimanche dans l'après-midi, a été reportée pour lundi.
Les autorités politiques sud africaines se trouvent dans une situation embarrassante mais s'opposent timidement à cette décision judiciaire, en raison des prochaines élections. S'opposer ouvertement à la décision de la justice c'est perdre plus des voix dans les prochaines élections sachant que le président Zuma n'a toujours pas fini avec la justice qui lui reproche l'aménagement de sa résidence privée sur des fonds publics.
Les autorités politiques auraient-elles réussi à exfiltrer le président Omar Hassan El Béchir en utilisant un aéroport militaire? Les choses seront plus claires dans les prochaines heures.
Omar el-Béchir est en Afrique du Sud pour participer au sommet de l’Union africaine, mais la Cour pénale internationale (CPI) a appelé Pretoria à l’arrêter, dans le cadre des poursuites engagées contre lui en 2009 pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité et en 2010 pour génocide.
Dimanche, la justice sud africaine a instruit tous les aéroports d'interdire le président soudanais de quitter le territoire. L'objectif est de statuer sur son sort après la demande de la CPI visant son arrestation et son transfert pour répondre aux accusations de génocide dans le Darfour. "le président Elbéchir jouit d'une immunité et il y a beaucoup au monde des responsables ayant commis des crimes sans être poursuivis", a déclaré, dimanche soir, à i24 News, le ministre soudanais des affaires étrangères.
Le bras de fer oppose les autorités politiques sud africaines à celles du droit qui ont, après la saisine d'une ONG, interdit, dimanche 14 juin au président soudanais Omar el-Béchir de quitter le pays tant que la justice n’aura pas statué sur la demande d’arrestation formulée par la CPI, indique un jugement publié dans la matinée de dimanche. L’affaire qui, normalement devait être examinée en urgence dimanche dans l'après-midi, a été reportée pour lundi.
Les autorités politiques sud africaines se trouvent dans une situation embarrassante mais s'opposent timidement à cette décision judiciaire, en raison des prochaines élections. S'opposer ouvertement à la décision de la justice c'est perdre plus des voix dans les prochaines élections sachant que le président Zuma n'a toujours pas fini avec la justice qui lui reproche l'aménagement de sa résidence privée sur des fonds publics.
Les autorités politiques auraient-elles réussi à exfiltrer le président Omar Hassan El Béchir en utilisant un aéroport militaire? Les choses seront plus claires dans les prochaines heures.
Omar el-Béchir est en Afrique du Sud pour participer au sommet de l’Union africaine, mais la Cour pénale internationale (CPI) a appelé Pretoria à l’arrêter, dans le cadre des poursuites engagées contre lui en 2009 pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité et en 2010 pour génocide.