Le 5 juillet à Washington, Dai Bingguo, ancien conseiller d'Etat chinois, a prononcé un discours lors de la cérémonie d'ouverture du Dialogue sur la mer de Chine méridionale, coparrainé par l'Institut des Finances Chongyang, de l'Université Renmin et la Fondation Carnegie pour la paix internationale.
Dai Bingguo a souligné que la Chine a, sur la base de la "Déclaration du Caire", de la "Proclamation de Potsdam" et autres documents établissant l'ordre d'après-guerre, récupéré les îles de la mer de Chine méridionale, et que, dans la pratique, les États-Unis ont reconnu la souveraineté de la Chine sur les îles Nansha. Le retour des îles Nansha à la Chine fait partie de l'ordre international d'après-guerre et des arrangements territoriaux relatifs, protégés par la "Charte de l'ONU" et autres textes de droit international. Par la suite, les Philippines, le Vietnam et d'autres pays ont envahi des îles et récifs Nansha appartenant à la Chine, par la force et de manière illégale. En vertu du droit international, la Chine jouit pleinement du droit à l'autoprotection et du droit à l'auto-défense, et elle a aussi la capacité de récupérer ces îles et récifs. Mais soucieuse de la paix et de la stabilité régionales, la Chine a longtemps exercé un degré élevé de retenue et recherché une solution pacifique par le biais de négociations.
Dai Bingguo a également précisé que la demande unilatérale d’arbitrage déposée par les Philippines sur la question de la mer de Chine méridionale est une violation de la "Déclaration sur la conduite des parties en mer de Chine méridionale", d’une série d'accords bilatéraux conclus avec la Chine et des dispositions pertinentes de la "Convention des Nations Unies sur le droit de la mer", est illégale depuis le début. A cet égard, la décision que le tribunal arbitral est sur le point de rendre ne sera jamais qu’un chiffon de papier. La Chine ne participe pas, n’accepte pas cet arbitrage, ne le reconnaît pas, et ne mettra pas en œuvre cette soi-disant décision, et non seulement elle défendra ses droits sur la base du droit international, mais elle assurera aussi le maintien et l'intégrité et de l'autorité de la Convention. A l’époque moderne, la Chine a subi l'intimidation des puissances occidentales, et cela, le peuple chinois ne l’a jamais oublié. Voilà pourquoi, sur la question de sa souveraineté territoriale, la Chine doit tenir fermement sa destinée entre ses propres mains, et elle n’acceptera aucune solution tierce. Aussi est-il impératif que les Philippines s'abstiennent strictement de toute activité de provocation à cet égard.
Enfin, Dai Bingguo a dit que, s’agissant en l’espèce d’un différend portant sur la souveraineté territoriale, il espérait que les États-Unis respecteront leur engagement à ne pas prendre parti, qu’ils reconnaîtront l'émergence pacifique de la Chine, sa volonté de n’avoir aucune intention d’hégémonie stratégique, qu’ils accorderont une juste place à la question de la mer de Chine méridionale dans les relations sino-américaines, qu’ils cesseront d'intervenir dans les litiges territoriaux concernant la mer de Chine méridionale, qu’ils s’attacheront à maîtriser les différences de manière constructive avec la Chine, et renforceront les actes positifs en mer. À notre ère de mondialisation où les opportunités et les défis sont entrelacés, la Chine et les Etats-Unis, en tant que plus grand pays en développement du monde et plus grand pays
développé doivent, dans la promotion du développement économique mondial, le maintien de la paix et de la sécurité internationales et autres domaines, assumer ensemble davantage de responsabilités. La Chine et les États-Unis sont deux grandes nations pleines de sagesse et de prévoyance. Tant que les deux parties auront à l’esprit l'intérêt commun, qu’elles se respecteront mutuellement, qu’elles communiqueront de façon ouverte, alors nous serons en mesure de maîtriser correctement les différences et de trouver des possibilités de coopération.
Des dizaines d'experts des deux pays ont participé au Dialogue des groupes de réflexion chinois et américains sur la mer de Chine méridionale, pendant lequel ils ont procédé à un vaste échange de vues pertinentes sur ce sujet.
Dai Bingguo a souligné que la Chine a, sur la base de la "Déclaration du Caire", de la "Proclamation de Potsdam" et autres documents établissant l'ordre d'après-guerre, récupéré les îles de la mer de Chine méridionale, et que, dans la pratique, les États-Unis ont reconnu la souveraineté de la Chine sur les îles Nansha. Le retour des îles Nansha à la Chine fait partie de l'ordre international d'après-guerre et des arrangements territoriaux relatifs, protégés par la "Charte de l'ONU" et autres textes de droit international. Par la suite, les Philippines, le Vietnam et d'autres pays ont envahi des îles et récifs Nansha appartenant à la Chine, par la force et de manière illégale. En vertu du droit international, la Chine jouit pleinement du droit à l'autoprotection et du droit à l'auto-défense, et elle a aussi la capacité de récupérer ces îles et récifs. Mais soucieuse de la paix et de la stabilité régionales, la Chine a longtemps exercé un degré élevé de retenue et recherché une solution pacifique par le biais de négociations.
Dai Bingguo a également précisé que la demande unilatérale d’arbitrage déposée par les Philippines sur la question de la mer de Chine méridionale est une violation de la "Déclaration sur la conduite des parties en mer de Chine méridionale", d’une série d'accords bilatéraux conclus avec la Chine et des dispositions pertinentes de la "Convention des Nations Unies sur le droit de la mer", est illégale depuis le début. A cet égard, la décision que le tribunal arbitral est sur le point de rendre ne sera jamais qu’un chiffon de papier. La Chine ne participe pas, n’accepte pas cet arbitrage, ne le reconnaît pas, et ne mettra pas en œuvre cette soi-disant décision, et non seulement elle défendra ses droits sur la base du droit international, mais elle assurera aussi le maintien et l'intégrité et de l'autorité de la Convention. A l’époque moderne, la Chine a subi l'intimidation des puissances occidentales, et cela, le peuple chinois ne l’a jamais oublié. Voilà pourquoi, sur la question de sa souveraineté territoriale, la Chine doit tenir fermement sa destinée entre ses propres mains, et elle n’acceptera aucune solution tierce. Aussi est-il impératif que les Philippines s'abstiennent strictement de toute activité de provocation à cet égard.
Enfin, Dai Bingguo a dit que, s’agissant en l’espèce d’un différend portant sur la souveraineté territoriale, il espérait que les États-Unis respecteront leur engagement à ne pas prendre parti, qu’ils reconnaîtront l'émergence pacifique de la Chine, sa volonté de n’avoir aucune intention d’hégémonie stratégique, qu’ils accorderont une juste place à la question de la mer de Chine méridionale dans les relations sino-américaines, qu’ils cesseront d'intervenir dans les litiges territoriaux concernant la mer de Chine méridionale, qu’ils s’attacheront à maîtriser les différences de manière constructive avec la Chine, et renforceront les actes positifs en mer. À notre ère de mondialisation où les opportunités et les défis sont entrelacés, la Chine et les Etats-Unis, en tant que plus grand pays en développement du monde et plus grand pays
développé doivent, dans la promotion du développement économique mondial, le maintien de la paix et de la sécurité internationales et autres domaines, assumer ensemble davantage de responsabilités. La Chine et les États-Unis sont deux grandes nations pleines de sagesse et de prévoyance. Tant que les deux parties auront à l’esprit l'intérêt commun, qu’elles se respecteront mutuellement, qu’elles communiqueront de façon ouverte, alors nous serons en mesure de maîtriser correctement les différences et de trouver des possibilités de coopération.
Des dizaines d'experts des deux pays ont participé au Dialogue des groupes de réflexion chinois et américains sur la mer de Chine méridionale, pendant lequel ils ont procédé à un vaste échange de vues pertinentes sur ce sujet.