Illustration © DR
Selon des sources locales, les travaux ont été arrêtés "à la demande des manifestants".
Vendredi, des représentants de plusieurs tribus du sud de la Libye ont menacé de couper l'approvisionnement en eau potable de la capitale, Tripoli, si le gouvernement d'unité nationale ne se conformait pas à leur demande de libération de l'ex-ministre des Finances Faraj Bumatari.
La compagnie libyenne d'électricité avait plus tôt demandé au gouvernement d'intervenir pour régler d'urgence les problèmes sur le champ Al-Sharara, sans préciser de quels dysfonctionnements il s'agit. La Libyan National Oil Corporation (NOC) n'a pas encore fait de déclarations officielles sur la situation dans les champs bloqués par les représentants des tribus locales.
Vendredi, des représentants de plusieurs tribus du sud de la Libye ont menacé de couper l'approvisionnement en eau potable de la capitale, Tripoli, si le gouvernement d'unité nationale ne se conformait pas à leur demande de libération de l'ex-ministre des Finances Faraj Bumatari.
La compagnie libyenne d'électricité avait plus tôt demandé au gouvernement d'intervenir pour régler d'urgence les problèmes sur le champ Al-Sharara, sans préciser de quels dysfonctionnements il s'agit. La Libyan National Oil Corporation (NOC) n'a pas encore fait de déclarations officielles sur la situation dans les champs bloqués par les représentants des tribus locales.