Le projet qui se développe dans le quartier Manianga, à Talangaï, porte de façon directe sur la construction de 115 logements. Il est fait de trois blocs : l’usine de fabrication de matériaux de construction comme les briques, les panneaux et les linteaux, déjà fonctionnelle ; le centre de formation en menuiserie, soudure, peinture, tôlerie, plomberie, maçonnerie, électronique et en électricité. Il est en cours d’installation et le dernier bloc, en exécution, est la construction des logements sociaux et d’un centre commercial sur 2500 m².
Outre les logements sociaux de type moderne qui sont en construction, l’intérêt du projet réside aussi dans les emplois qu’il crée au profit des jeunes de la circonscription électorale de la députée et ceux d’autres quartiers.
En effet, il s’agit dans ce projet de l’entrepreneuriat artisanal pour une auto-prise en charge de jeune, dans la mesure où cette « œuvre d’utilité publique » emploie un peu plus de 140 personnes dont cinq expatriés. 70% des jeunes employés sont issus du quartier 68 (Mboualé-Ngamakosso) contre 30% venus d’ailleurs, à révélé la promotrice du projet.
Le projet comporte également un volet formation en vue d’un transfert de compétence, notamment dans les nouveaux métiers comme la fabrication des intrants de la construction des maisons (panneaux, tuiles, pavés, briques).
Pour Claudia Lemboumba Sassou N’Guesso, l’initiative de ce projet dans sa circonscription électorale est une façon de formaliser le secteur informel et de bancariser les non-bancarisés.
A partir de ce site va s’éclore une politique d’assainissement urbain fondée sur la construction et la vente des maisons « Made in Congo », c’est-à-dire construites à base des matériaux locaux qui se fabriquent sur les lieux où se développe le projet, a soutenu la députée du quartier 68. Il s’agit ainsi de contribuer à l’assainissement d’un quartier souvent menacé par des érosions.
Claudia Sassou N’Guesso se félicite de ce que ce projet aura pour impact social contribuer à la baisse du chômage, réduisant de fait la pauvreté dans sa zone d’exécution et d’améliorer les conditions de vie des habitants des quartiers Maman Mboualé, Ngamakosso et Manianga.
Elle n'a pas manqué d' affirmer que « la priorité est de résoudre ces problèmes au niveau du quartier 68, afin de vivre décemment ». Elle a félicité « les jeunes congolais qui se sont investis dans ce projet qui est, vraisemblablement, made in Congo ».
Outre les logements sociaux de type moderne qui sont en construction, l’intérêt du projet réside aussi dans les emplois qu’il crée au profit des jeunes de la circonscription électorale de la députée et ceux d’autres quartiers.
En effet, il s’agit dans ce projet de l’entrepreneuriat artisanal pour une auto-prise en charge de jeune, dans la mesure où cette « œuvre d’utilité publique » emploie un peu plus de 140 personnes dont cinq expatriés. 70% des jeunes employés sont issus du quartier 68 (Mboualé-Ngamakosso) contre 30% venus d’ailleurs, à révélé la promotrice du projet.
Le projet comporte également un volet formation en vue d’un transfert de compétence, notamment dans les nouveaux métiers comme la fabrication des intrants de la construction des maisons (panneaux, tuiles, pavés, briques).
Pour Claudia Lemboumba Sassou N’Guesso, l’initiative de ce projet dans sa circonscription électorale est une façon de formaliser le secteur informel et de bancariser les non-bancarisés.
A partir de ce site va s’éclore une politique d’assainissement urbain fondée sur la construction et la vente des maisons « Made in Congo », c’est-à-dire construites à base des matériaux locaux qui se fabriquent sur les lieux où se développe le projet, a soutenu la députée du quartier 68. Il s’agit ainsi de contribuer à l’assainissement d’un quartier souvent menacé par des érosions.
Claudia Sassou N’Guesso se félicite de ce que ce projet aura pour impact social contribuer à la baisse du chômage, réduisant de fait la pauvreté dans sa zone d’exécution et d’améliorer les conditions de vie des habitants des quartiers Maman Mboualé, Ngamakosso et Manianga.
Elle n'a pas manqué d' affirmer que « la priorité est de résoudre ces problèmes au niveau du quartier 68, afin de vivre décemment ». Elle a félicité « les jeunes congolais qui se sont investis dans ce projet qui est, vraisemblablement, made in Congo ».