Illustration. © DR
Lomé - Un sommet de haut niveau dédié à la lutte contre le trafic et la consommation des faux médicaments en Afrique s’ouvre à partir du vendredi 17 janvier prochain à Lomé. Cette rencontre de deux jours est organisée par le gouvernement Togolais en partenariat avec la Fondation Brazzaville, une organisation indépendante à but non lucratif basée au Royaume-Unis.
Outre le Président Faure GNASSINGBE du Togo (hôte du sommet), six autres chefs d’Etat du continent (Congo, Ghana, Gambie, Niger, Ouganda, Sénégal), ainsi que d’éminentes personnalités du monde médical, dont le Directeur Général de l’OMS sont attendus à Lomé dans le cadre de cette rencontre qui débouchera sur la signature d’un accord-cadre légalement contraignant visant à lutter efficacement contre ce fléau qui tue près de 900 000 africains chaque année, dont 120 000 enfants de moins de cinq ans.
L’accord de Lomé conduira les sept pays signataires à créer une législation pour pénaliser ce trafic en imposant des sanctions sévères, à adhérer aux accords internationaux déjà existants et à renforcer les services de détection et de répression.
D’autres pays africains sont encouragés à se joindre à l’initiative portée par le président Togolais Faure GNASSINGBE qui avait le 20 décembre dernier, dans une tribune, dressé l’état des lieux et appelé à une mobilisation générale contre le phénomène. « Il est temps d’agir », avait martelé Faure GNASSINGBE.
Rappelons que la Fondation Brazzaville jouera un rôle clé dans la mise en œuvre des décisions qui sortiront de cette réunion. Elle sera responsable du suivi, de la coordination et du conseil afin d’assurer la mise en place des textes législatifs criminalisant le trafic de faux médicaments dans les différents pays africains.
Outre le Président Faure GNASSINGBE du Togo (hôte du sommet), six autres chefs d’Etat du continent (Congo, Ghana, Gambie, Niger, Ouganda, Sénégal), ainsi que d’éminentes personnalités du monde médical, dont le Directeur Général de l’OMS sont attendus à Lomé dans le cadre de cette rencontre qui débouchera sur la signature d’un accord-cadre légalement contraignant visant à lutter efficacement contre ce fléau qui tue près de 900 000 africains chaque année, dont 120 000 enfants de moins de cinq ans.
L’accord de Lomé conduira les sept pays signataires à créer une législation pour pénaliser ce trafic en imposant des sanctions sévères, à adhérer aux accords internationaux déjà existants et à renforcer les services de détection et de répression.
D’autres pays africains sont encouragés à se joindre à l’initiative portée par le président Togolais Faure GNASSINGBE qui avait le 20 décembre dernier, dans une tribune, dressé l’état des lieux et appelé à une mobilisation générale contre le phénomène. « Il est temps d’agir », avait martelé Faure GNASSINGBE.
Rappelons que la Fondation Brazzaville jouera un rôle clé dans la mise en œuvre des décisions qui sortiront de cette réunion. Elle sera responsable du suivi, de la coordination et du conseil afin d’assurer la mise en place des textes législatifs criminalisant le trafic de faux médicaments dans les différents pays africains.