Le président de la transition, le Colonel Assimi Goïta, a reçu le 25 novembre 2022, l’ambassadeur de la République Populaire de Chine, Chen Zhihong, qui accompagnait une délégation de son pays dans le cadre de la mise en œuvre de ce projet.
« La première unité sera installée à Koutiala avec une capacité de 20 000 tonnes coton fibre à transformer en filet. La deuxième unité sera installée à Bamako avec une capacité de 25 000 tonnes par an. Ce qui fait environ 45 000 tonnes de coton fibre », a précisé le Président Directeur général de la Compagnie malienne pour le développement des textiles (CMDT), Dr Nango Dembele avant de poursuivre : « Ce qui devrait amener le taux de transformation du coton de 2 % présentement à près de 10 % ».
« Le niveau filature capte environ 30 % de la valeur ajoutée de l’ensemble de la chaîne de valeur coton. Ce que nous perdons sur la vente de la fibre, à la filature, on le récupère en termes de plus-value en termes de marge bénéficiaire », a expliqué le patron de la CMDT qui indique que ce projet d’usines de filature est une bonne proposition technique pour la filière coton du Mali.
La société dispose d’un capital de 200 millions, dont 85 % sont détenus par la CMDT et 15 % par le partenaire chinois, avec création du Conseil d’administration et tout ce qui est nécessaire au fonctionnement juridique de la société.
Une délégation ; comprenant une équipe technique, des représentants du partenaire chinois ; conduite par le PDG de la CMDT, s’est rendu, le mercredi dernier, sur le futur site de la Société malienne de filature (SOMAFIL) de Koutiala. Elle sera installée sur une superficie de 50 hectares. Pour l’unité de Bamako, elle sera installée sur 70 hectares. Ces deux unités créeront 5000 emplois, détaille le gouvernement malien.
L’initiative des autorités de la Transition de transformer sur place le coton malien est hautement salutaire pour peu que l’on considère la production production annuelle qui s’élève à près de 700 000 tonnes. C’est donc dire que la culture du coton a de beaux jours devant elle, car la création de ces deux usines de filature est un grand facteur de stabilisation du prix du coton sans compter les milliers d’emplois directs et indirects qui seront créés.
« La première unité sera installée à Koutiala avec une capacité de 20 000 tonnes coton fibre à transformer en filet. La deuxième unité sera installée à Bamako avec une capacité de 25 000 tonnes par an. Ce qui fait environ 45 000 tonnes de coton fibre », a précisé le Président Directeur général de la Compagnie malienne pour le développement des textiles (CMDT), Dr Nango Dembele avant de poursuivre : « Ce qui devrait amener le taux de transformation du coton de 2 % présentement à près de 10 % ».
« Le niveau filature capte environ 30 % de la valeur ajoutée de l’ensemble de la chaîne de valeur coton. Ce que nous perdons sur la vente de la fibre, à la filature, on le récupère en termes de plus-value en termes de marge bénéficiaire », a expliqué le patron de la CMDT qui indique que ce projet d’usines de filature est une bonne proposition technique pour la filière coton du Mali.
La société dispose d’un capital de 200 millions, dont 85 % sont détenus par la CMDT et 15 % par le partenaire chinois, avec création du Conseil d’administration et tout ce qui est nécessaire au fonctionnement juridique de la société.
Une délégation ; comprenant une équipe technique, des représentants du partenaire chinois ; conduite par le PDG de la CMDT, s’est rendu, le mercredi dernier, sur le futur site de la Société malienne de filature (SOMAFIL) de Koutiala. Elle sera installée sur une superficie de 50 hectares. Pour l’unité de Bamako, elle sera installée sur 70 hectares. Ces deux unités créeront 5000 emplois, détaille le gouvernement malien.
L’initiative des autorités de la Transition de transformer sur place le coton malien est hautement salutaire pour peu que l’on considère la production production annuelle qui s’élève à près de 700 000 tonnes. C’est donc dire que la culture du coton a de beaux jours devant elle, car la création de ces deux usines de filature est un grand facteur de stabilisation du prix du coton sans compter les milliers d’emplois directs et indirects qui seront créés.