Situé à environ 200 kilomètres au nord de Bamako en direction de la frontière mauritanienne, ce camp de la région de Koulikouro a été la cible d’une « attaque terroriste ». Dans un communiqué, sans donner de bilan, l’armée l’a confirmé mais les sources jointes par Radio France Internationale (RFI) confirment une trentaine de morts.
Pour l’heure, aucune revendication n’a été faite. Selon le communiqué de l’armée, l’attaque a eu lieu « tôt le matin » et visait, « des unités chargées de la sécurisation des travaux de la route Kwala-Mourdiah-Nara ».
L’armée évoque une « attaque terroriste complexe », ce qui suggère l’utilisation de véhicules kamikazes, mais aucune précision officielle n'a été apportée. Aucun bilan non plus n’est indiqué par l’armée malienne. Mais différentes sources locales, sécuritaires et civiles, confirment 30 à 32 morts.
Plusieurs dizaines de militaires maliens ont également été blessés ou sont portés disparus. Un bilan malheureusement très lourd. Il faut dire que, selon les nombreuses sources concordantes jointes par la radio RFI, les assaillants étaient plus d’une centaine. Le camp a été détruit et le matériel militaire (véhicules, armes, uniformes) pillé par les assaillants.
Dans son communiqué, l’armée assure avoir « réagi » en détruisant plusieurs « bases » où les terroristes se seraient « repliés » après leur attaque, là encore sans plus de détails. Aucune revendication à ce stade par un camp adverse, mais les jihadistes du Jnim, liés à Al-Qaïda, ont déjà mené de multiples attaques dans cette partie du territoire malien.
Pour l’heure, aucune revendication n’a été faite. Selon le communiqué de l’armée, l’attaque a eu lieu « tôt le matin » et visait, « des unités chargées de la sécurisation des travaux de la route Kwala-Mourdiah-Nara ».
L’armée évoque une « attaque terroriste complexe », ce qui suggère l’utilisation de véhicules kamikazes, mais aucune précision officielle n'a été apportée. Aucun bilan non plus n’est indiqué par l’armée malienne. Mais différentes sources locales, sécuritaires et civiles, confirment 30 à 32 morts.
Plusieurs dizaines de militaires maliens ont également été blessés ou sont portés disparus. Un bilan malheureusement très lourd. Il faut dire que, selon les nombreuses sources concordantes jointes par la radio RFI, les assaillants étaient plus d’une centaine. Le camp a été détruit et le matériel militaire (véhicules, armes, uniformes) pillé par les assaillants.
Dans son communiqué, l’armée assure avoir « réagi » en détruisant plusieurs « bases » où les terroristes se seraient « repliés » après leur attaque, là encore sans plus de détails. Aucune revendication à ce stade par un camp adverse, mais les jihadistes du Jnim, liés à Al-Qaïda, ont déjà mené de multiples attaques dans cette partie du territoire malien.