"La population, très courageuse, s'est mise elle-même à s'auto-défendre, aidée par la mairie. Nous sommes en train de mobiliser des ressources pour que cela soit fait rapidement", a indiqué le ministre.
"À Ndigangali, malgré ce qui a été fait, il reste des choses à faire. Ils ont besoin au moins de 500 à 1000 sacs et de la terre puisque l'eau est en train de passer. À Toukra 2, l'eau est en train de monter très rapidement", a détaillé Mahamat Assileck Halata. Le génie militaire devrait s'y rendre d'urgence "pour faire un rempart de protection et arrêter l'eau qui monte".
"Nous sommes en train de regarder d'abord les urgences de l'heure", selon le ministre de l'aménagement du territoire.
Une réunion est prévue à 15 heures avec les partenaires des ministères concernés "pour avoir les ressources nécessaires et porter secours aux populations qui deviennent de plus en plus précaires", assure Mahamat Assileck Halata.
"À Ndigangali, malgré ce qui a été fait, il reste des choses à faire. Ils ont besoin au moins de 500 à 1000 sacs et de la terre puisque l'eau est en train de passer. À Toukra 2, l'eau est en train de monter très rapidement", a détaillé Mahamat Assileck Halata. Le génie militaire devrait s'y rendre d'urgence "pour faire un rempart de protection et arrêter l'eau qui monte".
"Nous sommes en train de regarder d'abord les urgences de l'heure", selon le ministre de l'aménagement du territoire.
Une réunion est prévue à 15 heures avec les partenaires des ministères concernés "pour avoir les ressources nécessaires et porter secours aux populations qui deviennent de plus en plus précaires", assure Mahamat Assileck Halata.