Une dizaine d'armes ont été trouvées chez le forcené découvert mort chez sa mère lundi à Paris (XIIIe arrondissement) après avoir blessé un passant dans la rue. Une autopsie doit déterminer si cet homme de 45 ans est décédé suite à un échange de coups de feu avec la police ou s'il s'est suicidé.
Vers 8h, cet homme inconnu des services de police avait fait feu sur un passant boulevard Auguste-Blanqui. Touchée dans le dos, la victime âgée de 44 ans s'était réfugiée dans la station de métro Corvisart. Elle a été ensuite hospitalisée mais ses jours ne sont pas en danger.
L'auteur des coups de feu s'était ensuite replié au domicile de sa mère où il habitait au 12e étage d'un immeuble du boulevard. Il prenait sa mère en otage et restait sourd aux tentatives de négociation des policiers de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI).
Vers 11h, l'homme ouvrait la porte et faisait feu sur les forces de l'ordre qui ripostaient. Dans l'affolement, la mère du forcené parvenait à s'échapper saine et sauve. Vers midi, l'homme qui ne répondait pas aux appels des policiers était découvert mort par les policiers qui avaient enfoncé sa porte.
"Un médecin estime que la blessure par balle est compatible avec un suicide", a-t-on indiqué de source policière. Confiée à la brigade criminelle, l'enquête devra déterminer si l'homme a retourné l'arme contre lui ou est mort suite aux tirs des policiers.
Lors de la perquisition, une dizaine d'armes de poing et d'épaule ainsi que des centaines de munitions ont été découvertes. Le forcené possédait notamment un revolver calibre 38 avec lequel il a tiré sur les policiers. Des vérifications sont en cours pour déterminer s'il était membre d'un club de tir.
Selon la police, l'homme souffrait de troubles psychiatriques et avait arrêté depuis quelques jours son traitement médicamenteux
AFP
Vers 8h, cet homme inconnu des services de police avait fait feu sur un passant boulevard Auguste-Blanqui. Touchée dans le dos, la victime âgée de 44 ans s'était réfugiée dans la station de métro Corvisart. Elle a été ensuite hospitalisée mais ses jours ne sont pas en danger.
L'auteur des coups de feu s'était ensuite replié au domicile de sa mère où il habitait au 12e étage d'un immeuble du boulevard. Il prenait sa mère en otage et restait sourd aux tentatives de négociation des policiers de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI).
Vers 11h, l'homme ouvrait la porte et faisait feu sur les forces de l'ordre qui ripostaient. Dans l'affolement, la mère du forcené parvenait à s'échapper saine et sauve. Vers midi, l'homme qui ne répondait pas aux appels des policiers était découvert mort par les policiers qui avaient enfoncé sa porte.
"Un médecin estime que la blessure par balle est compatible avec un suicide", a-t-on indiqué de source policière. Confiée à la brigade criminelle, l'enquête devra déterminer si l'homme a retourné l'arme contre lui ou est mort suite aux tirs des policiers.
Lors de la perquisition, une dizaine d'armes de poing et d'épaule ainsi que des centaines de munitions ont été découvertes. Le forcené possédait notamment un revolver calibre 38 avec lequel il a tiré sur les policiers. Des vérifications sont en cours pour déterminer s'il était membre d'un club de tir.
Selon la police, l'homme souffrait de troubles psychiatriques et avait arrêté depuis quelques jours son traitement médicamenteux
AFP