Cependant, on constate une forte augmentation du nombre de photographes amateurs, souvent appelés "chasseurs d'images", qui se proclament photographes sans réelle maîtrise de la technique.
Bien que l'accès aux appareils photo de haute technologie soit facilité, la photographie reste un art complexe nécessitant des compétences professionnelles.
Contrairement à d'autres pays où la photographie est une discipline et un métier organisé, nécessitant une formation adéquate, au Tchad, et particulièrement à N'Djamena, il suffit souvent de posséder un appareil photo pour se dire photographe.
Le manque crucial de structures de formation formelle en photographie au Tchad est déploré par des passionnés du domaine, comme Ngaradoum Romaric et Jean Kevin. Cela conduit à un manque de professionnalisme dans ce secteur.
À l'ère numérique, la photographie au Tchad fait face à des défis importants, notamment en matière de droits d'auteur et de préservation de l'authenticité, qui nécessitent une meilleure structuration et encadrement du métier.
Malgré le potentiel de la photographie en tant que métier d'avenir, le Tchad doit relever des défis majeurs en termes d'organisation, de formation et de reconnaissance professionnelle pour permettre l'épanouissement de ce secteur.
Au-delà de la simple prise de vue, la photographie est un art qui requiert une maîtrise technique, une sensibilité artistique et une connaissance approfondie des règles de composition. Malheureusement, au Tchad, la profession de photographe souffre d'un manque de reconnaissance et de structures de formation adaptées. Les photographes tchadiens doivent souvent faire face à la concurrence déloyale de personnes qui pratiquent la photographie de manière amateur, sans les compétences ni l'éthique nécessaires. Cette situation a un impact direct sur la qualité des images produites et sur la réputation de la photographie tchadienne à l'international. Il est urgent de mettre en place des mesures pour professionnaliser ce secteur et valoriser le travail des photographes
Bien que l'accès aux appareils photo de haute technologie soit facilité, la photographie reste un art complexe nécessitant des compétences professionnelles.
Contrairement à d'autres pays où la photographie est une discipline et un métier organisé, nécessitant une formation adéquate, au Tchad, et particulièrement à N'Djamena, il suffit souvent de posséder un appareil photo pour se dire photographe.
Le manque crucial de structures de formation formelle en photographie au Tchad est déploré par des passionnés du domaine, comme Ngaradoum Romaric et Jean Kevin. Cela conduit à un manque de professionnalisme dans ce secteur.
À l'ère numérique, la photographie au Tchad fait face à des défis importants, notamment en matière de droits d'auteur et de préservation de l'authenticité, qui nécessitent une meilleure structuration et encadrement du métier.
Malgré le potentiel de la photographie en tant que métier d'avenir, le Tchad doit relever des défis majeurs en termes d'organisation, de formation et de reconnaissance professionnelle pour permettre l'épanouissement de ce secteur.
Au-delà de la simple prise de vue, la photographie est un art qui requiert une maîtrise technique, une sensibilité artistique et une connaissance approfondie des règles de composition. Malheureusement, au Tchad, la profession de photographe souffre d'un manque de reconnaissance et de structures de formation adaptées. Les photographes tchadiens doivent souvent faire face à la concurrence déloyale de personnes qui pratiquent la photographie de manière amateur, sans les compétences ni l'éthique nécessaires. Cette situation a un impact direct sur la qualité des images produites et sur la réputation de la photographie tchadienne à l'international. Il est urgent de mettre en place des mesures pour professionnaliser ce secteur et valoriser le travail des photographes