Cet organe, certes, il a des informations qui doivent rester top-secret. Mais l'information sur le nombre de soldats marocains qui ont pris part à la guerre contre le terrorisme au Mali ou ceux qui participent encore à la guerre contre DAECH et la Qaïda en Irak et en Syrie voire à la guerre contre les Houthis au Yémen doit être communiquée au public.
Pareil pour les données concernant le nombre de morts, de blessés, de kidnappés et de soldats disparus pendant les guerres et les différentes opérations armées. Ce sont des informations qui doivent être communiquées et partagées avec le peuple marocain.
D'un autre coté, avant de s'engager dans une guerre, il serait préférable que cette administration sonde l'avis populaire. Ça sera une bonne chose qu'elle crée un sondage pour consulter le peuple et savoir s'il est d'accord avec cet engagement militaire ou non.
C'est ce que des pays tels que l'Allemagne, la Suède, l'Irlande et le Japon font. C'est ce qui a été récemment fait par la France de François Hollande, le Royaume-Uni de David Cameron, et les Etats-Unis de Barack Obama… alors pourquoi pas le Maroc ?!
Ce genre d'engagement militaire, normalement, ne doit pas être décidé sans le consentement du peuple. Le Coran ordonne l'émir des croyants de consulter son peuple avant de prendre ce genre de décision. Dommage que cet ordre divin ne s'observe plus depuis des siècles !
Pas de débat sur les questions militaires. Pas de vote. Pas de sondages. Des défauts qui s'ajoutent à l'absence de transparence au niveau de l'information. Pour un émirat des croyants, un système politique qui représente l'Islam, c'est une honte, un point noir qui nuit à l'image de cette belle religion. Mais c'est quelque chose que nous pouvons changer.
Partir en guerre a un prix. Ce prix est coûteux en termes de vies et d'argent. Et c'est le peuple qui le paie en fin de compte. Il revient donc à ses membres de décider et de dire s'ils sont prêts à le verser ou non.
Envoyer des soldats à des guerres qui ne concernent le peuple ni de près ni de loin, ne doit plus se faire aujourd'hui. L'armée appartient à tous les citoyens et pas à un seul homme ou une oligarchie.
A l'exception d'une attaque armée directe contre le pays, le peuple doit avoir un mot à dire sur la déclaration de l'état de guerre. Quand il s'agit d'une intervention militaire dans un pays étranger, l'envoi de l'armée doit être autorisé par la majorité.
Si le peuple est d'accord, l'armée peut se lancer en guerre. Sinon, personne n'a le droit d'aller contre la volonté populaire.
Pareil pour les données concernant le nombre de morts, de blessés, de kidnappés et de soldats disparus pendant les guerres et les différentes opérations armées. Ce sont des informations qui doivent être communiquées et partagées avec le peuple marocain.
D'un autre coté, avant de s'engager dans une guerre, il serait préférable que cette administration sonde l'avis populaire. Ça sera une bonne chose qu'elle crée un sondage pour consulter le peuple et savoir s'il est d'accord avec cet engagement militaire ou non.
C'est ce que des pays tels que l'Allemagne, la Suède, l'Irlande et le Japon font. C'est ce qui a été récemment fait par la France de François Hollande, le Royaume-Uni de David Cameron, et les Etats-Unis de Barack Obama… alors pourquoi pas le Maroc ?!
Ce genre d'engagement militaire, normalement, ne doit pas être décidé sans le consentement du peuple. Le Coran ordonne l'émir des croyants de consulter son peuple avant de prendre ce genre de décision. Dommage que cet ordre divin ne s'observe plus depuis des siècles !
Pas de débat sur les questions militaires. Pas de vote. Pas de sondages. Des défauts qui s'ajoutent à l'absence de transparence au niveau de l'information. Pour un émirat des croyants, un système politique qui représente l'Islam, c'est une honte, un point noir qui nuit à l'image de cette belle religion. Mais c'est quelque chose que nous pouvons changer.
Partir en guerre a un prix. Ce prix est coûteux en termes de vies et d'argent. Et c'est le peuple qui le paie en fin de compte. Il revient donc à ses membres de décider et de dire s'ils sont prêts à le verser ou non.
Envoyer des soldats à des guerres qui ne concernent le peuple ni de près ni de loin, ne doit plus se faire aujourd'hui. L'armée appartient à tous les citoyens et pas à un seul homme ou une oligarchie.
A l'exception d'une attaque armée directe contre le pays, le peuple doit avoir un mot à dire sur la déclaration de l'état de guerre. Quand il s'agit d'une intervention militaire dans un pays étranger, l'envoi de l'armée doit être autorisé par la majorité.
Si le peuple est d'accord, l'armée peut se lancer en guerre. Sinon, personne n'a le droit d'aller contre la volonté populaire.