Zhang Niansheng, Wu Yun et Guan Kejiang, journalistes au Quotidien du Peuple
Le 12 juillet, le tribunal arbitral sur la mer de Chine méridionale initié par les Philippines a rendu sa soi-disant décision finale, illégale et invalide. À cet égard, la Chine a déclaré à plusieurs reprises, que cette procédure lancée de façon unilatérale par le gouvernement du Président philippin Aquino est contraire au droit international, qu’un tribunal temporaire n'a pas compétence, et que la Chine n’y participerait pas, ne l'accepterait pas ou ne le reconnaitre pas. Des experts de différents pays ont déclaré dans une interview avec les journalistes du Quotidien du Peuple que l’arbitrage sur la mer de Chine méridionale n’est qu’une farce politique qui se drape dans le manteau du droit, et que la décision de ce tribunal temporaire, qui ignore le droit et les faits n'a aucun effet juridique. Ces experts et chercheurs soutiennent la position de la Chine sur la question de la mer de Chine du Sud, et appellent au dialogue et à des consultations pacifiques pour résoudre les différends sur la mer de Chine méridionale.
William Jones, expert américain en questions internationales et directeur du bureau de Washington de l’Executive Intelligence Review, estime que ce tribunal arbitral ad hoc n'a pas vocation à s’exprimer sur la question de la souveraineté territoriale. Selon lui, depuis le début, l'ensemble de la procédure d'arbitrage avait pour but d'accuser la Chine de non-respect du droit international, ou demander à la Chine d'abandonner complètement ses revendications territoriales. S’agissant du tribunal arbitral provisoire, si l’on peut faire une analogie, on pourrait le comparer à une équipe en compétition qui s’entend en coulisses avec l'arbitre pour déterminer le résultat. William Jones croit que pour ce qui va suivre, les États-Unis et leurs alliés vont continuer de demander à la Chine de « respecter le droit international », de faire pression sur elle, mais aussi faire tout leur possible pour permettre aux Philippines de maintenir leur position.
Joseph Klein, correspondant de Canada Free Press aux Nations Unies, estime que le fait que l’une des parties aux traités multilatéraux tente d'exploiter les ambiguïtés du traité pour demander des prestations allant au-delà du champ d'application du traité va porter atteinte aux fondations légales et morales des traités multilatéraux. Il estime que ce tribunal temporaire s’est comporté de façon arbitaire, sapant les dispositions prises entre les États parties pour régler les différends par la diplomatie et les négociations, se servant de l'expansion de son pouvoir pour servir ses propres intérêts étroits, portant ainsi atteinte à la souveraineté nationale et au droit international.
Heinz Korffmann, ancien professeur de droit à l'Université de Potsdam, en Allemagne, a de son côté souligné toute la persistance et la retenue que la Chine a exercées jusqu'à présent au sujet des litiges sur la mer de Chine méridionale, et soutient la position de Beijing sur la question de la mer de Chine méridionale. Selon lui, la Chine a toujours maintenu la primauté du droit international, l'équité et la justice, et adhéré à la voie du
développement pacifique. Le Gouvernement chinois est fermement engagé dans le maintien de la paix et de la stabilité en mer de Chine méridionale, il s’est engagé à travailler avec les parties directement liées sur le respect des faits historiques sur la base du droit international, sur le règlement pacifique des différends par des négociations et des consultations. La seule façon correcte et réalisable de traiter les différends concernant la mer de Chine méridionale et de sauvegarder la paix et la stabilité régionales, c’est la résolution directe par les parties de leurs différends sur leurs droits et intérêts territoriaux et maritimes par le dialogue et la consultation, sur la base de la « Déclaration sur la conduite des parties en mer de Chine méridionale ».
Le 12 juillet, le tribunal arbitral sur la mer de Chine méridionale initié par les Philippines a rendu sa soi-disant décision finale, illégale et invalide. À cet égard, la Chine a déclaré à plusieurs reprises, que cette procédure lancée de façon unilatérale par le gouvernement du Président philippin Aquino est contraire au droit international, qu’un tribunal temporaire n'a pas compétence, et que la Chine n’y participerait pas, ne l'accepterait pas ou ne le reconnaitre pas. Des experts de différents pays ont déclaré dans une interview avec les journalistes du Quotidien du Peuple que l’arbitrage sur la mer de Chine méridionale n’est qu’une farce politique qui se drape dans le manteau du droit, et que la décision de ce tribunal temporaire, qui ignore le droit et les faits n'a aucun effet juridique. Ces experts et chercheurs soutiennent la position de la Chine sur la question de la mer de Chine du Sud, et appellent au dialogue et à des consultations pacifiques pour résoudre les différends sur la mer de Chine méridionale.
William Jones, expert américain en questions internationales et directeur du bureau de Washington de l’Executive Intelligence Review, estime que ce tribunal arbitral ad hoc n'a pas vocation à s’exprimer sur la question de la souveraineté territoriale. Selon lui, depuis le début, l'ensemble de la procédure d'arbitrage avait pour but d'accuser la Chine de non-respect du droit international, ou demander à la Chine d'abandonner complètement ses revendications territoriales. S’agissant du tribunal arbitral provisoire, si l’on peut faire une analogie, on pourrait le comparer à une équipe en compétition qui s’entend en coulisses avec l'arbitre pour déterminer le résultat. William Jones croit que pour ce qui va suivre, les États-Unis et leurs alliés vont continuer de demander à la Chine de « respecter le droit international », de faire pression sur elle, mais aussi faire tout leur possible pour permettre aux Philippines de maintenir leur position.
Joseph Klein, correspondant de Canada Free Press aux Nations Unies, estime que le fait que l’une des parties aux traités multilatéraux tente d'exploiter les ambiguïtés du traité pour demander des prestations allant au-delà du champ d'application du traité va porter atteinte aux fondations légales et morales des traités multilatéraux. Il estime que ce tribunal temporaire s’est comporté de façon arbitaire, sapant les dispositions prises entre les États parties pour régler les différends par la diplomatie et les négociations, se servant de l'expansion de son pouvoir pour servir ses propres intérêts étroits, portant ainsi atteinte à la souveraineté nationale et au droit international.
Heinz Korffmann, ancien professeur de droit à l'Université de Potsdam, en Allemagne, a de son côté souligné toute la persistance et la retenue que la Chine a exercées jusqu'à présent au sujet des litiges sur la mer de Chine méridionale, et soutient la position de Beijing sur la question de la mer de Chine méridionale. Selon lui, la Chine a toujours maintenu la primauté du droit international, l'équité et la justice, et adhéré à la voie du
développement pacifique. Le Gouvernement chinois est fermement engagé dans le maintien de la paix et de la stabilité en mer de Chine méridionale, il s’est engagé à travailler avec les parties directement liées sur le respect des faits historiques sur la base du droit international, sur le règlement pacifique des différends par des négociations et des consultations. La seule façon correcte et réalisable de traiter les différends concernant la mer de Chine méridionale et de sauvegarder la paix et la stabilité régionales, c’est la résolution directe par les parties de leurs différends sur leurs droits et intérêts territoriaux et maritimes par le dialogue et la consultation, sur la base de la « Déclaration sur la conduite des parties en mer de Chine méridionale ».