Les attentes élevées des femmes pendant les fêtes
Cette période de l’année est marquée par une augmentation des dépenses. Entre tenues vestimentaires, coiffures, produits de beauté, accessoires, décoration de la maison et préparations culinaires, les femmes expriment davantage de besoins.
Cependant, de nombreux hommes critiquent ouvertement le rythme effréné de ces dépenses. « On n’a pas d’autre choix que de se plier à cette course folle vers la beauté de Noël et du Nouvel An », confie Dillah Etienne, employé dans une société de gardiennage à N’Djamena. Selon lui, les hommes se sentent obligés de céder pour éviter d’être critiqués.
Pour Roger, père de trois enfants après 16 ans de mariage, cette période peut être source de tension. « Femme + enfants = fêtes, ce qui signifie vêtements neufs et nourriture. Si cela manque, maman monte les enfants contre toi. Le mieux est de bien planifier, sinon aucune explication ne suffit pour convaincre femme et enfants de célébrer sans nourriture ni vêtements », explique-t-il.
Le cas des femmes indépendantes
Face à cette dynamique, certaines femmes choisissent de ne pas dépendre financièrement de leurs conjoints pour les préparatifs des fêtes. C’est le cas de Françoise Ndoyom, qui assume une partie des dépenses. « C’est vrai que l’homme est le chef de la famille et qu’il doit assurer les dépenses, mais parfois, la femme aussi peut s’occuper de certaines charges. Pendant les fêtes, j’investis sur moi-même. Même s’il me donne de l’argent, ce n’est souvent pas suffisant », explique-t-elle avec le sourire.
Clarisse, étudiante et commerçante, partage cet avis : « Pendant les fêtes de fin d’année, les hommes sont souvent capricieux. Moi, je me gère seule. Parfois, ils donnent une somme qui ne suffit même pas pour acheter une paire de chaussures. On ne peut pas parler de fête sans élégance. »
La clé : Fêter selon ses moyens
Le débat entre femmes dépensières et indépendantes met en lumière des réalités diverses. Cependant, le plus important reste de célébrer les fêtes selon ses moyens. La joie de cette période réside avant tout dans les moments de partage et de convivialité, et non dans des dépenses excessives.
Que l’on soit dépensière ou indépendante, l’essentiel est de trouver un équilibre pour célébrer dans la sérénité, sans tensions inutiles.
Cette période de l’année est marquée par une augmentation des dépenses. Entre tenues vestimentaires, coiffures, produits de beauté, accessoires, décoration de la maison et préparations culinaires, les femmes expriment davantage de besoins.
Cependant, de nombreux hommes critiquent ouvertement le rythme effréné de ces dépenses. « On n’a pas d’autre choix que de se plier à cette course folle vers la beauté de Noël et du Nouvel An », confie Dillah Etienne, employé dans une société de gardiennage à N’Djamena. Selon lui, les hommes se sentent obligés de céder pour éviter d’être critiqués.
Pour Roger, père de trois enfants après 16 ans de mariage, cette période peut être source de tension. « Femme + enfants = fêtes, ce qui signifie vêtements neufs et nourriture. Si cela manque, maman monte les enfants contre toi. Le mieux est de bien planifier, sinon aucune explication ne suffit pour convaincre femme et enfants de célébrer sans nourriture ni vêtements », explique-t-il.
Le cas des femmes indépendantes
Face à cette dynamique, certaines femmes choisissent de ne pas dépendre financièrement de leurs conjoints pour les préparatifs des fêtes. C’est le cas de Françoise Ndoyom, qui assume une partie des dépenses. « C’est vrai que l’homme est le chef de la famille et qu’il doit assurer les dépenses, mais parfois, la femme aussi peut s’occuper de certaines charges. Pendant les fêtes, j’investis sur moi-même. Même s’il me donne de l’argent, ce n’est souvent pas suffisant », explique-t-elle avec le sourire.
Clarisse, étudiante et commerçante, partage cet avis : « Pendant les fêtes de fin d’année, les hommes sont souvent capricieux. Moi, je me gère seule. Parfois, ils donnent une somme qui ne suffit même pas pour acheter une paire de chaussures. On ne peut pas parler de fête sans élégance. »
La clé : Fêter selon ses moyens
Le débat entre femmes dépensières et indépendantes met en lumière des réalités diverses. Cependant, le plus important reste de célébrer les fêtes selon ses moyens. La joie de cette période réside avant tout dans les moments de partage et de convivialité, et non dans des dépenses excessives.
Que l’on soit dépensière ou indépendante, l’essentiel est de trouver un équilibre pour célébrer dans la sérénité, sans tensions inutiles.