Mes Chers compatriotes rescapés d’un instant désastreux et de tragédie humaine que traverse la République centrafricaine, aujourd’hui témoins de l’injustice, le tribalisme,
APPEL A TOUS LES CENTRAFRICAINS POUR LA RESTAURATION DE LA PAIX ET L’UNITE NATIONALE EN RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE
Mes Chers compatriotes,
Rescapés d’un instant désastreux et de tragédie humaine que traverse la République centrafricaine, aujourd’hui témoins de l’injustice, le tribalisme,
La haine et de la guerre religieuse due aux problèmes politico-militaires.
C’est avec un grand chagrin au cœur que je me permets de lancer un appel patriotique à vous, mes chers compatriotes centrafricains et centrafricaines que l’heure est venue pour que chacun de nous puisse amener sa part de pierre à la construction de l’édifice de la paix pour un pays en deuil comme le nôtre à travers lesquels sont plus marqués les coups d’Etat, la haine, le tribalisme, la violence de tout genre et l’incapacité de nos gouverneurs à pouvoir unifier le peuple centrafricain sous le respect de l’hymne national et la devise.
C’est pourquoi, aujourd'hui, je lance un appel pacifique :
Au peuple centrafricain qu’il veut que les choses changent et vraiment que ça change, plus que jamais, nous avons le devoir de défendre les valeurs de l’unité nationale âprement défendues par nos grandes figures, voire par nos ancêtres qui ont eu la clairvoyance de tisser des liens de cousinage entre les différentes composantes sociales de notre pays. C'est à dire que l'heure n'est plus à la politique politicienne, mais à la remise de tous au travail pour que la paix se trouve une place au sein de notre nation. En d’autres termes, cela ne devra être pour nous une obligation mais un devoir de tout un peuple souverain et libre.
Aux hommes politiques d’inspirer de l'exemple de dignité, de patriotisme, d'humilité et de dépassement de soi donné par le défunt Président Nelson Mandela, qui, après 27 ans passés derrière les crochets, esquissés de moult humiliations et privations, a su tourner cette page sombre, en pardonnant, en rassemblant ses concitoyens de toutes les couleurs et de toutes les conditions sociales autour de l'idéal de construction nationale. Donc, comme l'a dit et répété à maintes reprises la Présidente de la République, les querelles de clocher, les complots d'une certaine classe politique contre le peuple souverain en vue de se partager les dépouilles de la République, sont nuisibles à la cohésion sociale. Il faut que cela cesse et au plus vite. Et dans son message à la Nation à l'occasion du 55ème anniversaire de son décès du Président Fondateur Barthelemy Boganda, la Présidente a réitéré son appel à l'union de tous les centrafricains : ''Au-delà de nos divergences politiques, religieuses et d'opinions, nous devons tous, individuellement et collectivement, avoir comme boussole l'intérêt national.
En somme unissons-nous et marchons vers la paix pour une République meilleure et un avenir certain en abandonnant nos vieilles habitudes. Par ce qu’il est vrai d’après DALAÏ LAMA Tenzin Gyatso : « La paix, ce n'est pas quelque chose qui vient de l'extérieur. C'est quelque chose qui vient de l'intérieur. C'est quelque chose qui doit commencer au-dedans de nous-mêmes; chacun a la responsabilité de faire croitre la paix en lui afin que la paix demeure générale ».
Faite à Fès le 03 Avril 2014
Le Républicain NGONDJO TOUKAM Ismaël Louis Fernandez
Mes Chers compatriotes,
Rescapés d’un instant désastreux et de tragédie humaine que traverse la République centrafricaine, aujourd’hui témoins de l’injustice, le tribalisme,
La haine et de la guerre religieuse due aux problèmes politico-militaires.
C’est avec un grand chagrin au cœur que je me permets de lancer un appel patriotique à vous, mes chers compatriotes centrafricains et centrafricaines que l’heure est venue pour que chacun de nous puisse amener sa part de pierre à la construction de l’édifice de la paix pour un pays en deuil comme le nôtre à travers lesquels sont plus marqués les coups d’Etat, la haine, le tribalisme, la violence de tout genre et l’incapacité de nos gouverneurs à pouvoir unifier le peuple centrafricain sous le respect de l’hymne national et la devise.
C’est pourquoi, aujourd'hui, je lance un appel pacifique :
Au peuple centrafricain qu’il veut que les choses changent et vraiment que ça change, plus que jamais, nous avons le devoir de défendre les valeurs de l’unité nationale âprement défendues par nos grandes figures, voire par nos ancêtres qui ont eu la clairvoyance de tisser des liens de cousinage entre les différentes composantes sociales de notre pays. C'est à dire que l'heure n'est plus à la politique politicienne, mais à la remise de tous au travail pour que la paix se trouve une place au sein de notre nation. En d’autres termes, cela ne devra être pour nous une obligation mais un devoir de tout un peuple souverain et libre.
Aux hommes politiques d’inspirer de l'exemple de dignité, de patriotisme, d'humilité et de dépassement de soi donné par le défunt Président Nelson Mandela, qui, après 27 ans passés derrière les crochets, esquissés de moult humiliations et privations, a su tourner cette page sombre, en pardonnant, en rassemblant ses concitoyens de toutes les couleurs et de toutes les conditions sociales autour de l'idéal de construction nationale. Donc, comme l'a dit et répété à maintes reprises la Présidente de la République, les querelles de clocher, les complots d'une certaine classe politique contre le peuple souverain en vue de se partager les dépouilles de la République, sont nuisibles à la cohésion sociale. Il faut que cela cesse et au plus vite. Et dans son message à la Nation à l'occasion du 55ème anniversaire de son décès du Président Fondateur Barthelemy Boganda, la Présidente a réitéré son appel à l'union de tous les centrafricains : ''Au-delà de nos divergences politiques, religieuses et d'opinions, nous devons tous, individuellement et collectivement, avoir comme boussole l'intérêt national.
En somme unissons-nous et marchons vers la paix pour une République meilleure et un avenir certain en abandonnant nos vieilles habitudes. Par ce qu’il est vrai d’après DALAÏ LAMA Tenzin Gyatso : « La paix, ce n'est pas quelque chose qui vient de l'extérieur. C'est quelque chose qui vient de l'intérieur. C'est quelque chose qui doit commencer au-dedans de nous-mêmes; chacun a la responsabilité de faire croitre la paix en lui afin que la paix demeure générale ».
Faite à Fès le 03 Avril 2014
Le Républicain NGONDJO TOUKAM Ismaël Louis Fernandez