En célébrant ses neuf ans d'accession à la magistrature suprême, le président de la République, Faustin Archange Touadéra a accordé le dimanche 30 mars 2025, une grande interview aux journalistes des médias nationaux dans la salle de cinéma du Palais de la Renaissance.
Cet exercice démocratique et républicain a donné l’occasion au président de la République de répondre à bâtons rompus aux questions des professionnels des médias, sur les problématiques liées entre autres au rétablissement de l'autorité de l'État, sa gouvernance politique, économique, sociale et diplomatique, la place accordée aux femmes et aux jeunes dans les instances de décision, ainsi que dans le développement de la RCA.
Le président de la République Faustin Archange Touadéra a rappelé le tableau sombre qui précédait son accession à la magistrature suprême de l'Etat en 2016, avant de mettre un coup de projecteur sur les réalisations qu'il est en train d'impulser dans divers secteurs dont le recrutement dans les rangs des forces de défenses et de sécurité ainsi que leur déploiement sur toute l’étendue du territoire, la diplomatie désormais bénéfique à la population, le recrutement des jeunes dans la fonction publique dans le but de rajeunir l’administration publique et la place de choix donnée aux femmes dans l’économie et les instances de prise de décision.
Le chef de l'État a saisi l'occasion pour rappeler les dispositions de la Loi fondamentale empêchent les bi-nationaux d'occuper d'être candidat à l'élection présidentielle dans notre pays. Lequel sujet sert de prétexte à certains leaders politiques centrafricains de l'accuser de vouloir les disqualifier de la course à la Présidentielle.
Pour lui, c'est la loi et elle s'applique à tout le monde. « Tous ceux qui veulent diriger le pays n'ont qu'à renoncer à leur nationalité étrangère. On ne peut gouverner le Peuple centrafricain en appartenant à une autre nationalité », a-t-il rappelé. A travers cet exercice républicain, le président de la République Faustin Archange Touadéra a voulu témoigner à l'opinion nationale et internationale sa volonté de faire régner une gouvernance démocratique durant son mandat.
Cet exercice démocratique et républicain a donné l’occasion au président de la République de répondre à bâtons rompus aux questions des professionnels des médias, sur les problématiques liées entre autres au rétablissement de l'autorité de l'État, sa gouvernance politique, économique, sociale et diplomatique, la place accordée aux femmes et aux jeunes dans les instances de décision, ainsi que dans le développement de la RCA.
Le président de la République Faustin Archange Touadéra a rappelé le tableau sombre qui précédait son accession à la magistrature suprême de l'Etat en 2016, avant de mettre un coup de projecteur sur les réalisations qu'il est en train d'impulser dans divers secteurs dont le recrutement dans les rangs des forces de défenses et de sécurité ainsi que leur déploiement sur toute l’étendue du territoire, la diplomatie désormais bénéfique à la population, le recrutement des jeunes dans la fonction publique dans le but de rajeunir l’administration publique et la place de choix donnée aux femmes dans l’économie et les instances de prise de décision.
Le chef de l'État a saisi l'occasion pour rappeler les dispositions de la Loi fondamentale empêchent les bi-nationaux d'occuper d'être candidat à l'élection présidentielle dans notre pays. Lequel sujet sert de prétexte à certains leaders politiques centrafricains de l'accuser de vouloir les disqualifier de la course à la Présidentielle.
Pour lui, c'est la loi et elle s'applique à tout le monde. « Tous ceux qui veulent diriger le pays n'ont qu'à renoncer à leur nationalité étrangère. On ne peut gouverner le Peuple centrafricain en appartenant à une autre nationalité », a-t-il rappelé. A travers cet exercice républicain, le président de la République Faustin Archange Touadéra a voulu témoigner à l'opinion nationale et internationale sa volonté de faire régner une gouvernance démocratique durant son mandat.