Si l’opposition congolaise avait pris acte des résultats, elle allait surprendre plus d’un observateur. Faite d’égocentriques, l’opposition radicale confond l’humilité à l’humiliation. Faudrait-il le rappeler, l’opposition radicale a voulu faire flamber quelques rues de Brazzaville et Pointe-Noire, ainsi que quelques localités avec l’objectif volontairement affiché d’empêcher la tenue du référendum constitutionnel. L’insurrection généralisée ainsi enclenchée devait conduire à la chute de Denis Sassou N’Guesso. Résolument tournée vers la terreur, l’opposition radicale a instauré des brigades de briguant chargées d’empêcher tout électeur des quartiers acquis à sa cause, d’aller voter.
Pourtant, cet objectif n’a pas été atteint, parce que, dans son écrasante majorité, le peuple n’a pas suivi cet appel au coup d’Etat et à la violence aveugle. Elle est alors passée à l’appel au boycott. Sur la base de cette méthode inqualifiable, l’opposition croyait dur comme fer que personne au Congo ne devait se lever pour aller voter, le 25 octobre.
Quand les résultats du vote sont publiés, l’opposition qui n’a pas appelé les électeurs à voter contre le projet de nouvelle constitution, monte sur ses égos et crie, sans se sourcier, à la fraude et à la tricherie, parce qu’elle n’avait son regard que sur les quartiers où sa terreur a apeuré certains électeurs. Sur la même base de leur terreur érigée en méthode démocratique, l’opposition chante en cœur et sans preuve que le taux de participation serait à moins de 15%.
Or, en l’absence d’un appel au « Non », tous ceux qui se sont déplacés ne devaient être majoritairement que pour le « Oui ».
Au nom de la patrie, dès lors que la violence n’a pas été suivi par le peuple, la meilleure des choses que l’opposition aurait fait, serait de prendre acte des résultats et engagé le débat avec la majorité au pouvoir pour discuter réellement de la gouvernance électorale. La relance des appels à la désobéissance ressemble à un désamour pour le Congo. Car, ceux qui se sont opposés ou s’opposent à la nouvelle constitution ne sont pas plus Congolais que les autres.
Pourtant, cet objectif n’a pas été atteint, parce que, dans son écrasante majorité, le peuple n’a pas suivi cet appel au coup d’Etat et à la violence aveugle. Elle est alors passée à l’appel au boycott. Sur la base de cette méthode inqualifiable, l’opposition croyait dur comme fer que personne au Congo ne devait se lever pour aller voter, le 25 octobre.
Quand les résultats du vote sont publiés, l’opposition qui n’a pas appelé les électeurs à voter contre le projet de nouvelle constitution, monte sur ses égos et crie, sans se sourcier, à la fraude et à la tricherie, parce qu’elle n’avait son regard que sur les quartiers où sa terreur a apeuré certains électeurs. Sur la même base de leur terreur érigée en méthode démocratique, l’opposition chante en cœur et sans preuve que le taux de participation serait à moins de 15%.
Or, en l’absence d’un appel au « Non », tous ceux qui se sont déplacés ne devaient être majoritairement que pour le « Oui ».
Au nom de la patrie, dès lors que la violence n’a pas été suivi par le peuple, la meilleure des choses que l’opposition aurait fait, serait de prendre acte des résultats et engagé le débat avec la majorité au pouvoir pour discuter réellement de la gouvernance électorale. La relance des appels à la désobéissance ressemble à un désamour pour le Congo. Car, ceux qui se sont opposés ou s’opposent à la nouvelle constitution ne sont pas plus Congolais que les autres.