Par Jonas Mvouanzi
Ce sommet permettra une réflexion sur les trois axes identifiés par son thème, à savoir les personnes, la prospérité et la paix. Au niveau des personnes, les participants au 4è sommet UE-Afrique devraient réfléchir aux moyens de promouvoir le capital humain par l’éducation et la formation, y compris des femmes et des enfants, en leur permettant d’acquérir les compétences et les connaissances pour une meilleure insertion professionnelle.
Au niveau de la prospérité, les dirigeants devraient débattre de la création d’autres mesures pour encourager les investissements et des moyens de stimuler la croissance afin de créer de l’emploi, notamment pour les jeunes, et de libérer ainsi leur potentiel de production et leur esprit d’entreprise.
S’agissant de la paix, les participants au sommet devraient réfléchir aux moyens de renforcer
le soutien de l’UE aux capacités dont dispose l’Afrique pour gérer la sécurité sur le continent. La paix étant un « préalable » au développement humain et à la sécurité des personnes.
Selon un communiqué de presse de l’UE, ledit sommet sera également l’occasion de faire le point de la coopération actuelle et future dans les divers domaines couverts par la stratégie commune Afrique-UE et étudier les moyens de la mettre en œuvre de façon effective et rationnelle.
Le sommet devrait donner lieu à l’adoption d’une déclaration politique embrassant l’ensemble des thèmes relatifs aux relations entre l’UE et l’Afrique. Un document précisant les modalités d’une coopération de continent à continent dans le cadre de la stratégie commune Afrique-UE pour les trois années à venir.Car, aujourd’hui, pour l’Afrique dont le principal souci est de maintenir la dynamique de croissance économique
positive de plus de 5% que connaît le continent depuis 1995, la priorité n’est plus à l’aide mais au commerce; la dynamique n’est plus celle de l’asymétrie subie mais d’un partenariat égalitaire entre acteurs globaux ayant chacun sa valeur ajoutée dans un environnement globalisé de plus en plus compétitif la stratégie conjointe Afrique-UE (SCAEU)
Adoptée à Lisbonne en 2007, cette stratégie était censée établir les bases et principes d'un changement de paradigme dans les relations entre l’Afrique et l'Europe basées essentiellement sur la dépendance de l’aide et le credo du libre-échange depuis l’Accord de Cotonou signé en 2000. Mais, sept ans après son adoption, les parties, les Africains en particulier, s'accordent à reconnaître que le partenariat, essentiellement technique et bureaucratique, n'a pas permis la réalisation de ces objectifs ambitieux, ni d'impulser une
nouvelle dynamique dans les relations entre les deux parties.
Au niveau de la prospérité, les dirigeants devraient débattre de la création d’autres mesures pour encourager les investissements et des moyens de stimuler la croissance afin de créer de l’emploi, notamment pour les jeunes, et de libérer ainsi leur potentiel de production et leur esprit d’entreprise.
S’agissant de la paix, les participants au sommet devraient réfléchir aux moyens de renforcer
le soutien de l’UE aux capacités dont dispose l’Afrique pour gérer la sécurité sur le continent. La paix étant un « préalable » au développement humain et à la sécurité des personnes.
Selon un communiqué de presse de l’UE, ledit sommet sera également l’occasion de faire le point de la coopération actuelle et future dans les divers domaines couverts par la stratégie commune Afrique-UE et étudier les moyens de la mettre en œuvre de façon effective et rationnelle.
Le sommet devrait donner lieu à l’adoption d’une déclaration politique embrassant l’ensemble des thèmes relatifs aux relations entre l’UE et l’Afrique. Un document précisant les modalités d’une coopération de continent à continent dans le cadre de la stratégie commune Afrique-UE pour les trois années à venir.Car, aujourd’hui, pour l’Afrique dont le principal souci est de maintenir la dynamique de croissance économique
positive de plus de 5% que connaît le continent depuis 1995, la priorité n’est plus à l’aide mais au commerce; la dynamique n’est plus celle de l’asymétrie subie mais d’un partenariat égalitaire entre acteurs globaux ayant chacun sa valeur ajoutée dans un environnement globalisé de plus en plus compétitif la stratégie conjointe Afrique-UE (SCAEU)
Adoptée à Lisbonne en 2007, cette stratégie était censée établir les bases et principes d'un changement de paradigme dans les relations entre l’Afrique et l'Europe basées essentiellement sur la dépendance de l’aide et le credo du libre-échange depuis l’Accord de Cotonou signé en 2000. Mais, sept ans après son adoption, les parties, les Africains en particulier, s'accordent à reconnaître que le partenariat, essentiellement technique et bureaucratique, n'a pas permis la réalisation de ces objectifs ambitieux, ni d'impulser une
nouvelle dynamique dans les relations entre les deux parties.