Une délégation ivoirienne conduite par le ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, Ibrahim Kalil Konaté, est présente à Paris, pour prendre part au Sommet France Action sur l'Intelligence artificielle ouvert, le 10 février 2025.
Au cours de ce sommet co-présidé par l'Inde, les participants vont discuter des différents enjeux de l'IA qui en plus des avantages qu'elle offre au public, à travers ses outils tels que ChatGPT, le robot conversationnel de l'entreprise américaine OpenAI, etc., suscite aussi parfois des réserves en raison des potentielles menaces qui l'accompagnent, notamment la perte des emplois, la sécurité des données personnelles, le risque de désinformation, d'arnaques en ligne et d'autres fléaux d'internet, etc.
Ce mardi, le ministre Konaté, chef de la délégation ivoirienne, représentera le Président de la République, Alassane Ouattara, au sommet des chefs d'État, de gouvernements et de personnalités internationales au Grand Palais en vue de débattre de multiples questions relatives aux intelligences artificielles, qu'elles soient diplomatiques, politiques, économiques, éthiques ou encore juridiques.
À l'issue de cette session plénière de haut niveau à laquelle participent également les grandes organisations, la société civile et les créateurs, une Déclaration dite de Paris portant sur "des principes forts sur la protection des droits, l'environnement, l'intégrité de l'information, la propriété intellectuelle" sera lue.
Parmi les autres projets attendus, "un plan avec une dizaine de grands supercalculateurs publics dédiés à la recherche publique ou ouverts pour les start-up européennes" devrait être dévoilé par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Ces ordinateurs surpuissants sont cruciaux pour entraîner et faire fonctionner les modèles d'IA.
Le sommet doit aussi aboutir à la création d'une fondation pour l'intérêt général, financée par des acteurs privés et publics (gouvernements, organisations philanthropiques, entreprises…), pour laquelle Paris espère lever 2,5 milliards d'euros sur cinq ans. En marge de ce sommet, le ministre Ibrahim Kalil Konaté mènera d'autres activités.
Au cours de ce sommet co-présidé par l'Inde, les participants vont discuter des différents enjeux de l'IA qui en plus des avantages qu'elle offre au public, à travers ses outils tels que ChatGPT, le robot conversationnel de l'entreprise américaine OpenAI, etc., suscite aussi parfois des réserves en raison des potentielles menaces qui l'accompagnent, notamment la perte des emplois, la sécurité des données personnelles, le risque de désinformation, d'arnaques en ligne et d'autres fléaux d'internet, etc.
Ce mardi, le ministre Konaté, chef de la délégation ivoirienne, représentera le Président de la République, Alassane Ouattara, au sommet des chefs d'État, de gouvernements et de personnalités internationales au Grand Palais en vue de débattre de multiples questions relatives aux intelligences artificielles, qu'elles soient diplomatiques, politiques, économiques, éthiques ou encore juridiques.
À l'issue de cette session plénière de haut niveau à laquelle participent également les grandes organisations, la société civile et les créateurs, une Déclaration dite de Paris portant sur "des principes forts sur la protection des droits, l'environnement, l'intégrité de l'information, la propriété intellectuelle" sera lue.
Parmi les autres projets attendus, "un plan avec une dizaine de grands supercalculateurs publics dédiés à la recherche publique ou ouverts pour les start-up européennes" devrait être dévoilé par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Ces ordinateurs surpuissants sont cruciaux pour entraîner et faire fonctionner les modèles d'IA.
Le sommet doit aussi aboutir à la création d'une fondation pour l'intérêt général, financée par des acteurs privés et publics (gouvernements, organisations philanthropiques, entreprises…), pour laquelle Paris espère lever 2,5 milliards d'euros sur cinq ans. En marge de ce sommet, le ministre Ibrahim Kalil Konaté mènera d'autres activités.