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Le porte-parole d'un groupe d'ex-agents de l'Agence nationale de la sécurité, Bokhit Adam Saleh a saisi le 1er mars 2019 le Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de N'Djamena d'une plainte contre le directeur général de l'ANS.
En cause, la radiation de 2197 agents sans droits sociaux, "pour des raisons que nous ignorons", précise Bokhit Adam Saleh. D'après lui, cette opération s'étale sur trois ans, notamment 2017-2018-2019.
"Malheureusement, nous avons été renvoyés verbalement, jusqu'à nos jours cela n'a été accompagné d'aucune note relative au renvoi tant collectif qu'individuel", explique-t-il dans une plainte consultée par Alwihda Info.
"La plupart d'entre nous avons été recrutés à l'époque du Centre de recherche et de coordination des renseignements (CRCR, ex-ANS, ndlr) vers les années 90. Certains d'entre nous étaient encadrés par les experts américains, français, italiens, soudanais et égyptiens. Cela constitue une perte pour l'Etat sachant qu'il a investit colossalement sur nous et que nous ne sommes pas utilisés au prorata de l'investissement échu", poursuit-il.
Le groupe qui qualifie son renvoi d'abusif, demande à la justice de le rétablir dans ses droits, conformément aux lois en vigueur.
En cause, la radiation de 2197 agents sans droits sociaux, "pour des raisons que nous ignorons", précise Bokhit Adam Saleh. D'après lui, cette opération s'étale sur trois ans, notamment 2017-2018-2019.
"Malheureusement, nous avons été renvoyés verbalement, jusqu'à nos jours cela n'a été accompagné d'aucune note relative au renvoi tant collectif qu'individuel", explique-t-il dans une plainte consultée par Alwihda Info.
"La plupart d'entre nous avons été recrutés à l'époque du Centre de recherche et de coordination des renseignements (CRCR, ex-ANS, ndlr) vers les années 90. Certains d'entre nous étaient encadrés par les experts américains, français, italiens, soudanais et égyptiens. Cela constitue une perte pour l'Etat sachant qu'il a investit colossalement sur nous et que nous ne sommes pas utilisés au prorata de l'investissement échu", poursuit-il.
Le groupe qui qualifie son renvoi d'abusif, demande à la justice de le rétablir dans ses droits, conformément aux lois en vigueur.