Dr Djimadoum-yan Kayamou Enoch a souligné que le Tchad, avec sa vaste étendue territoriale, ses différents climats et ses défis humanitaires croissants, nécessite urgemment des professionnels qualifiés pour guider les communautés vers un développement résilient et durable. Il a pointé du doigt les défis majeurs tels que l'accès à l'eau potable et les infrastructures d'assainissement, rappelant que 50% de la population tchadienne n'a pas accès à de l'eau potable et que les maladies liées à l'hygiène sont courantes.
Il a également mentionné que le Tchad est l'un des pays les plus affectés par la malnutrition, avec plus de 30% des enfants souffrant de malnutrition chronique et 10% de malnutrition sévère. Le coordinateur a préconisé une diversification alimentaire adéquate et la mise en place de communautés sensibilisées à la lutte contre les carences en micronutriments telles que le fer, la vitamine A et l'iode.
En outre, Dr Djimadoum-yan a évoqué les défis du système de santé tchadien, notamment le manque de personnel qualifié, les infrastructures techniques insuffisantes et l'accès limité aux soins de base. Il a souligné l'importance cruciale des soignants et des infirmiers pour garantir une prise en charge efficace des patients, l'amélioration des soins maternels et infantiles pour réduire la mortalité maternelle et néonatale, et le renforcement des capacités en gestion des urgences.
Pour conclure, le coordinateur a affirmé que, collectivement, il est possible de surmonter les défis du développement, de renforcer la résilience des populations et de construire un Tchad plus fort et en meilleure santé.
Il a également mentionné que le Tchad est l'un des pays les plus affectés par la malnutrition, avec plus de 30% des enfants souffrant de malnutrition chronique et 10% de malnutrition sévère. Le coordinateur a préconisé une diversification alimentaire adéquate et la mise en place de communautés sensibilisées à la lutte contre les carences en micronutriments telles que le fer, la vitamine A et l'iode.
En outre, Dr Djimadoum-yan a évoqué les défis du système de santé tchadien, notamment le manque de personnel qualifié, les infrastructures techniques insuffisantes et l'accès limité aux soins de base. Il a souligné l'importance cruciale des soignants et des infirmiers pour garantir une prise en charge efficace des patients, l'amélioration des soins maternels et infantiles pour réduire la mortalité maternelle et néonatale, et le renforcement des capacités en gestion des urgences.
Pour conclure, le coordinateur a affirmé que, collectivement, il est possible de surmonter les défis du développement, de renforcer la résilience des populations et de construire un Tchad plus fort et en meilleure santé.