Un marché inondé à Goz Beida, à l'Est du Tchad. © Mahamat Issa Gadaya/Alwihda Info
Au moins 388.000 personnes ont été touchées par les inondations au Tchad, selon les estimations du bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU.
Au total, 19 provinces sur 23 sont touchées par les inondations dans le pays, et 113.000 personnes supplémentaires seraient affectées par rapport aux derniers chiffres, a indiqué vendredi dernier l'OCHA dans son rapport.
Les chiffres mis à jour montrent une augmentation du nombre de ménages touchés par les inondations dans les provinces du centre et de l'est (de 16 000 à plus de 26 000) et dans les provinces du sud (de 17 000 à plus de 26 000). À l'inverse, les chiffres avaient été surestimés dans le Lac (ils sont désormais passés de 7 000 à 3 780 ménages touchés).
À N’Djamena, la situation reste stationnaire avec 5 812 ménages touchés par les récentes inondations.
Les partenaires humanitaires continuent de fournir un soutien initial en denrées alimentaires et articles non alimentaires, tandis que le gouvernement aménage des sites pour accueillir des sinistrés.
Dans les provinces de l'est, du centre et du sud, qui sont les plus durement touchées, plus des deux tiers de tous les ménages touchés par les inondations (46000) ont un besoin urgent de nourriture, de sanitaires, de produits non alimentaires et de moyens de subsistance, mais très peu ou aucune réponse n'a été possible jusqu'à présent en raison du manque de ressources et des contraintes d'accès.
Dans la province méridionale de Mayo-Kebbi est où il y a un manque de partenaires et d'infrastructures, et où le choléra est endémique, une mission d'évaluation inter-institutions est prévue cette semaine pour suivre les besoins en santé, sanitaires, abris, produits alimentaires et non alimentaires.
Dans l’ensemble du pays, et sur la base des statistiques gouvernementales et des partenaires humanitaires, quelque 64 670 ménages (388 000 personnes) ont été touchés au 29 septembre.
Au total, 19 provinces sur 23 sont touchées par les inondations dans le pays, et 113.000 personnes supplémentaires seraient affectées par rapport aux derniers chiffres, a indiqué vendredi dernier l'OCHA dans son rapport.
Les chiffres mis à jour montrent une augmentation du nombre de ménages touchés par les inondations dans les provinces du centre et de l'est (de 16 000 à plus de 26 000) et dans les provinces du sud (de 17 000 à plus de 26 000). À l'inverse, les chiffres avaient été surestimés dans le Lac (ils sont désormais passés de 7 000 à 3 780 ménages touchés).
À N’Djamena, la situation reste stationnaire avec 5 812 ménages touchés par les récentes inondations.
Les partenaires humanitaires continuent de fournir un soutien initial en denrées alimentaires et articles non alimentaires, tandis que le gouvernement aménage des sites pour accueillir des sinistrés.
Dans les provinces de l'est, du centre et du sud, qui sont les plus durement touchées, plus des deux tiers de tous les ménages touchés par les inondations (46000) ont un besoin urgent de nourriture, de sanitaires, de produits non alimentaires et de moyens de subsistance, mais très peu ou aucune réponse n'a été possible jusqu'à présent en raison du manque de ressources et des contraintes d'accès.
Dans la province méridionale de Mayo-Kebbi est où il y a un manque de partenaires et d'infrastructures, et où le choléra est endémique, une mission d'évaluation inter-institutions est prévue cette semaine pour suivre les besoins en santé, sanitaires, abris, produits alimentaires et non alimentaires.
Dans l’ensemble du pays, et sur la base des statistiques gouvernementales et des partenaires humanitaires, quelque 64 670 ménages (388 000 personnes) ont été touchés au 29 septembre.