Le collectif des 64 ex-agents licenciés de la Société de raffinage de N'Djamena a appelé le 17 mars le président de la République à s'investir personnellement sur sa situation, ainsi que les élus du peuple à prendre une résolution à l'encontre du ministre du Pétrole.
Formés pendant plus d'un an par l'Institut de régulation et d'autonomie (IRA), les agents ont été recrutés dans un premier temps suite à un test à la Raffinerie de Djarmaya. Ils ont ensuite été licenciés, expliquent le président du collectif Ahmat Idriss Ndale et la secrétaire générale Achta Hamid Saleh.
Le 3 décembre 2019, les ex-agents ont écrit une lettre au président de la République qui a ordonner de mettre en place une commission interministérielle pour examiner la situation des 64 personnes afin de les rétablir dans leurs droits. Jusqu'à ce jour, c'est le statut quo sur leur situation.
Les ex-agents demandent à regagner leurs postes au plus vite possible et déplorent un blocus.
Formés pendant plus d'un an par l'Institut de régulation et d'autonomie (IRA), les agents ont été recrutés dans un premier temps suite à un test à la Raffinerie de Djarmaya. Ils ont ensuite été licenciés, expliquent le président du collectif Ahmat Idriss Ndale et la secrétaire générale Achta Hamid Saleh.
Le 3 décembre 2019, les ex-agents ont écrit une lettre au président de la République qui a ordonner de mettre en place une commission interministérielle pour examiner la situation des 64 personnes afin de les rétablir dans leurs droits. Jusqu'à ce jour, c'est le statut quo sur leur situation.
Les ex-agents demandent à regagner leurs postes au plus vite possible et déplorent un blocus.