Deux mois et dix jours, c’est exactement la durée qui sépare l’Aïd El Fitr qui marque la fin du mois de Ramadan à l’Aïd Al Adha, aussi appelé Aïd El Kebir qui signifie littéralement la grande fête. C’est dire combien cette célébration est importante dans le calendrier musulman.
Si le sacrifice est dans tous les esprits, le premier acte pour tout fidèle c’est d’abord la prière de l’Aïd. Celle qui se tient traditionnellement à la grande mosquée Roi Fayçal a drainé un nombre important de fidèles, au rang desquels, le Président de la République Mahamat Idriss Deby Itno, arrivé sur les lieux peu avant 8h. Après le rituel d’usage – deux unités de prières dans la salle annexe – le Chef de l’Etat intègre l’édifice pour prendre place aux côtés de l’assemblée.
Aussitôt démarre la prière, des unités de prières marquées par des formules de glorification sont accomplies. Puis intervient le sermon de l’imam de la grande mosquée Cheikh Ahmat Annour Mahamat Alhilou dont le thème central est l’éducation des enfants. « Il s’agit de l’avenir de la Nation, et le futur du pays qui se prépare aujourd’hui » argumente-t-il.
La relève ne peut être assurée efficacement sans une éducation correcte, porteuse de valeurs. Dans une société en perte de repères, l’érudit conseille l’enseignement du bon sens, la sincérité, l’amour du pays et à proscrire la médisance, la trahison et la tromperie. Cela doit occuper une place centrale prescrit-il, appelant les fidèles à inculquer à leurs progénitures les fondamentaux de la religion : la crainte de Dieu, l’amour envers son Messager, l’apprentissage de ses saintes écritures.
Cheikh Ahmat Annour Mahamat Alhilou les invite aussi à enlever le caractère effroyable qu’on assigne à l’enseignement coranique qualifiant cette attitude de maladresse préjudiciable.
L’imam va plus loin en préconisant l’introduction des matières religieuses dans le cursus scolaire et à faire de la radio et télévision des outils d’encadrement qui mettent en avant des programmes instructifs et porteurs de valeurs. Tout ceci fera de nos enfants des êtres complets soutient-il.
Au terme du sermon, des prières sont formulées pour la paix, la sécurité et la quiétude au Tchad tout comme aux pays frères en guerre comme le Soudan et la Palestine.
Si le sacrifice est dans tous les esprits, le premier acte pour tout fidèle c’est d’abord la prière de l’Aïd. Celle qui se tient traditionnellement à la grande mosquée Roi Fayçal a drainé un nombre important de fidèles, au rang desquels, le Président de la République Mahamat Idriss Deby Itno, arrivé sur les lieux peu avant 8h. Après le rituel d’usage – deux unités de prières dans la salle annexe – le Chef de l’Etat intègre l’édifice pour prendre place aux côtés de l’assemblée.
Aussitôt démarre la prière, des unités de prières marquées par des formules de glorification sont accomplies. Puis intervient le sermon de l’imam de la grande mosquée Cheikh Ahmat Annour Mahamat Alhilou dont le thème central est l’éducation des enfants. « Il s’agit de l’avenir de la Nation, et le futur du pays qui se prépare aujourd’hui » argumente-t-il.
La relève ne peut être assurée efficacement sans une éducation correcte, porteuse de valeurs. Dans une société en perte de repères, l’érudit conseille l’enseignement du bon sens, la sincérité, l’amour du pays et à proscrire la médisance, la trahison et la tromperie. Cela doit occuper une place centrale prescrit-il, appelant les fidèles à inculquer à leurs progénitures les fondamentaux de la religion : la crainte de Dieu, l’amour envers son Messager, l’apprentissage de ses saintes écritures.
Cheikh Ahmat Annour Mahamat Alhilou les invite aussi à enlever le caractère effroyable qu’on assigne à l’enseignement coranique qualifiant cette attitude de maladresse préjudiciable.
L’imam va plus loin en préconisant l’introduction des matières religieuses dans le cursus scolaire et à faire de la radio et télévision des outils d’encadrement qui mettent en avant des programmes instructifs et porteurs de valeurs. Tout ceci fera de nos enfants des êtres complets soutient-il.
Au terme du sermon, des prières sont formulées pour la paix, la sécurité et la quiétude au Tchad tout comme aux pays frères en guerre comme le Soudan et la Palestine.