"On va éviter le confinement parce que Abéché, non seulement, c'est le chef-lieu du Ouaddaï mais c'est une grande partie du Tchad", a indiqué mardi le secrétaire d'État à la Santé publique et à la Solidarité nationale.
"On a pensé aussi à une chose, on laisse entrer mais pas sortir. Tous ces éléments là, on a mis sur la table", précise Dr. Djiddi Ali Sougoudi.
Dans l'immédiat, ces mesures n'ont pas été jugées opportunes face à la maladie. D'autres sont envisagées, notamment la désinsectisation de tous les véhicules qui sortent de la ville et l'épandage. "On va prendre des mesures pour nettoyer tous les véhicules qui sortent. Sinon, on va répandre le Chikungunya et dans les jours qui viennent vous allez apprendre qu'il est à N'Djamena", souligne le secrétaire d'État.
Des cas suspects sont signalés dans d'autres localités de la province. Des test seront réalisés. "Pour l'instant, on a que des suspicions", précise le membre du gouvernement.
"À Adré, on a eu deux cas. Tous partis d'Abéché", ajoute-t-il.
Le paludisme est différent du Chikungunya. Il est dû à un parasite tandis que le Chikungunya est causé par un virus. "Le Chikungunya est venu du Soudan qui a peut être maitrisé. Nous on va mettre les moyens. On va mobiliser les hélicoptères. Il faut aussi que la population soit sensibilisée et protégée", détaille le secrétaire d'État.
"On a pensé aussi à une chose, on laisse entrer mais pas sortir. Tous ces éléments là, on a mis sur la table", précise Dr. Djiddi Ali Sougoudi.
Dans l'immédiat, ces mesures n'ont pas été jugées opportunes face à la maladie. D'autres sont envisagées, notamment la désinsectisation de tous les véhicules qui sortent de la ville et l'épandage. "On va prendre des mesures pour nettoyer tous les véhicules qui sortent. Sinon, on va répandre le Chikungunya et dans les jours qui viennent vous allez apprendre qu'il est à N'Djamena", souligne le secrétaire d'État.
Des cas suspects sont signalés dans d'autres localités de la province. Des test seront réalisés. "Pour l'instant, on a que des suspicions", précise le membre du gouvernement.
"À Adré, on a eu deux cas. Tous partis d'Abéché", ajoute-t-il.
Le paludisme est différent du Chikungunya. Il est dû à un parasite tandis que le Chikungunya est causé par un virus. "Le Chikungunya est venu du Soudan qui a peut être maitrisé. Nous on va mettre les moyens. On va mobiliser les hélicoptères. Il faut aussi que la population soit sensibilisée et protégée", détaille le secrétaire d'État.