Menu
Tchad : Clôture de la table ronde SWEDD et suivi des recommandations
Les discussions ont porté sur diverses thématiques, notamment le faible taux de scolarisation des adolescentes, l’accès égal aux services de santé de reproduction pour les jeunes filles et les femmes, l’entrepreneuriat des jeunes filles déscolarisées, l’autonomisation économique des femmes et des filles, la prévention des violences basées sur le genre (VBG), et l’accès des femmes à la terre. L’accent a également été mis sur l’engagement et le plaidoyer autour du dividende démographique.
À l’issue des travaux, les participants ont formulé plusieurs recommandations à l’intention des autorités et des parties prenantes. Ils ont appelé le gouvernement à renforcer la synergie entre les acteurs travaillant pour l’amélioration des conditions des jeunes filles et des femmes, à sensibiliser les chefs traditionnels, les leaders religieux et les communautés sur l’accès des femmes à la terre, à veiller au respect des protocoles d’accord en faveur des jeunes filles et des femmes, à vulgariser les textes protégeant les droits des femmes, et à organiser des émissions radiophoniques pour promouvoir ces droits. Ils ont également recommandé d’augmenter le nombre d’animateurs de jeunesse dans les provinces.
Les chefs traditionnels et les leaders religieux se sont engagés à mener des actions dans leurs milieux respectifs pour améliorer les conditions des femmes, à soutenir les efforts du gouvernement et des partenaires techniques et financiers, et à renforcer la scolarisation des adolescentes. Ils ont assuré qu’ils veilleraient à l’application de la loi 006 du 14 mars 2015 interdisant le mariage des enfants.
Selon le représentant du ministère de la Femme, l’autonomisation des adolescentes et des jeunes femmes est un levier essentiel pour la transition démographique du pays. Investir dans l’insertion socioprofessionnelle des femmes et des filles contribue à bâtir des communautés résilientes capables de faire face aux crises et de s’adapter aux menaces croissantes, telles que le changement climatique et les stéréotypes de genre. Le projet SWEDD+ mettra ainsi l’accent sur le renforcement des compétences de vie des adolescentes et des jeunes femmes, en particulier en matière de santé sexuelle et reproductive.
À l’issue des travaux, les participants ont formulé plusieurs recommandations à l’intention des autorités et des parties prenantes. Ils ont appelé le gouvernement à renforcer la synergie entre les acteurs travaillant pour l’amélioration des conditions des jeunes filles et des femmes, à sensibiliser les chefs traditionnels, les leaders religieux et les communautés sur l’accès des femmes à la terre, à veiller au respect des protocoles d’accord en faveur des jeunes filles et des femmes, à vulgariser les textes protégeant les droits des femmes, et à organiser des émissions radiophoniques pour promouvoir ces droits. Ils ont également recommandé d’augmenter le nombre d’animateurs de jeunesse dans les provinces.
Les chefs traditionnels et les leaders religieux se sont engagés à mener des actions dans leurs milieux respectifs pour améliorer les conditions des femmes, à soutenir les efforts du gouvernement et des partenaires techniques et financiers, et à renforcer la scolarisation des adolescentes. Ils ont assuré qu’ils veilleraient à l’application de la loi 006 du 14 mars 2015 interdisant le mariage des enfants.
Selon le représentant du ministère de la Femme, l’autonomisation des adolescentes et des jeunes femmes est un levier essentiel pour la transition démographique du pays. Investir dans l’insertion socioprofessionnelle des femmes et des filles contribue à bâtir des communautés résilientes capables de faire face aux crises et de s’adapter aux menaces croissantes, telles que le changement climatique et les stéréotypes de genre. Le projet SWEDD+ mettra ainsi l’accent sur le renforcement des compétences de vie des adolescentes et des jeunes femmes, en particulier en matière de santé sexuelle et reproductive.
