Plus de 60 ans après, qu'a apporté cette école pour le développement et le changement de mentalité du peuple tchadien ? Il ne s'agit pas de remettre en cause les connaissances acquises par des millions de Tchadiens, mais quel est l'impact de ce savoir sur leur bien-être ? Considérée comme un puissant facteur fournissant une culture commune à tous les individus, quel que soit leur milieu d'appartenance, l'éducation doit leur servir tout au long de leur vie. Cependant, depuis l’indépendance jusqu'à nos jours, l'école tchadienne a montré son insuffisance à construire une société prospère vivant dans la paix, la tolérance et la cohabitation.
Quoi qu'il en soit, au regard de ces interminables conflits communautaires, éleveurs-agriculteurs, de violences et bien d'autres multiples comportements déplacés, l'on peut se demander si certains Tchadiens sont réellement passés par une école. Une interrogation qui peut paraître anormale, mais qui mérite réflexion. Puisque le sage africain Nelson Mandela disait : "L’éducation est l’arme la plus puissante que l’on puisse utiliser pour changer le monde". Cela suffit à comprendre qu'il n'y a pas de société sans éducation. Car ce qui fait progresser un peuple, c'est l'instruction. On dit souvent qu'une nation qui progresse est celle dont le peuple est instruit, compétent et doté de sagesse. Quoi qu'il en soit, le peuple tchadien est loin de cette assertion. Comme le dit la Sainte Écriture, "mon peuple périt faute de connaissances".
Il est urgent de reconnaître le rôle de l’école dans la promotion de la cohabitation pacifique, du vivre ensemble, de travailler main dans la main pour la construction de son pays. Mais comment peut-on justifier plus de 60 ans d'existence de l'école alors que l'on organise des caravanes sur la paix, le vivre ensemble et la lutte contre les messages de haine ? Quelle ironie ! Les réalités sont là et indiscutables. Comme le dit un sage, "l'école tchadienne est construite avec un ciment trop dégradé. Depuis des années, on modifie ce ciment et nous arrivons souvent au point zéro". Il est temps d'y remédier, sinon on va construire une génération à l'âge primitif.
Cependant, une bonne école a le potentiel de réduire les risques de violence sous différentes formes en favorisant la pensée critique, en encourageant un dialogue ouvert et en créant des opportunités de croissance économique. Pour arriver à ce point, il est de la responsabilité de tous de mettre le train en marche. Car la finalité d'une école est l'éducation, le respect de la vie en société, de la nature, la participation économique et sociale, l'égalité de tous, l'amour de la patrie, le respect des valeurs de la République, pour ne citer que ceux-là. Qui doit-on jeter la première pierre si l'on fait le point sur l'école au Tchad ?
Quoi qu'il en soit, au regard de ces interminables conflits communautaires, éleveurs-agriculteurs, de violences et bien d'autres multiples comportements déplacés, l'on peut se demander si certains Tchadiens sont réellement passés par une école. Une interrogation qui peut paraître anormale, mais qui mérite réflexion. Puisque le sage africain Nelson Mandela disait : "L’éducation est l’arme la plus puissante que l’on puisse utiliser pour changer le monde". Cela suffit à comprendre qu'il n'y a pas de société sans éducation. Car ce qui fait progresser un peuple, c'est l'instruction. On dit souvent qu'une nation qui progresse est celle dont le peuple est instruit, compétent et doté de sagesse. Quoi qu'il en soit, le peuple tchadien est loin de cette assertion. Comme le dit la Sainte Écriture, "mon peuple périt faute de connaissances".
Il est urgent de reconnaître le rôle de l’école dans la promotion de la cohabitation pacifique, du vivre ensemble, de travailler main dans la main pour la construction de son pays. Mais comment peut-on justifier plus de 60 ans d'existence de l'école alors que l'on organise des caravanes sur la paix, le vivre ensemble et la lutte contre les messages de haine ? Quelle ironie ! Les réalités sont là et indiscutables. Comme le dit un sage, "l'école tchadienne est construite avec un ciment trop dégradé. Depuis des années, on modifie ce ciment et nous arrivons souvent au point zéro". Il est temps d'y remédier, sinon on va construire une génération à l'âge primitif.
Cependant, une bonne école a le potentiel de réduire les risques de violence sous différentes formes en favorisant la pensée critique, en encourageant un dialogue ouvert et en créant des opportunités de croissance économique. Pour arriver à ce point, il est de la responsabilité de tous de mettre le train en marche. Car la finalité d'une école est l'éducation, le respect de la vie en société, de la nature, la participation économique et sociale, l'égalité de tous, l'amour de la patrie, le respect des valeurs de la République, pour ne citer que ceux-là. Qui doit-on jeter la première pierre si l'on fait le point sur l'école au Tchad ?