CRI DE DETRESSE
Depuis des décennies l’histoire de ce pays n’a été qu’incertitude et succession inaltérné d’événements extravagants et superflue.
Hier, c’était des dictatures, aujourd’hui une démocratie destructrice de toutes les valeurs d’une république digne de ce nom.
Qu’attend le citoyen d’en bas qui ne cesse de payer les pots cassés tout en sachant pertinemment qu’il a été toujours innocent de toutes les manœuvres dilatoires qui ont conduit a ce qu’il vit aujourd’hui.
Le lot quotidien des tchadiens ne se résume qu’au gout amers de la survie tant capricieuse qu’il tente cahin caha d’appréhender.
Le régime actuel et ces eternels laudateurs soufflent la pluie et le beau temps au détriment du citoyen lambda qui ne sait à quel saint se vouer.
Si l’on arrive à s’exprimer trivialement IDRISS DEBY et ses sbires veulent vraisemblablement le beurre et l’argent du beurre. Voyons l’exemple alarmant de la gestion abracadabrantesque du pays. Le peuple voit son unité s’effriter du jour au lendemain par les subdivisions ethnique que le régime a crée et tente de perpétuer malgré les péripéties que cela suscite au sein des intellectuels au sens propre du terme.
Ou est passé l’opposition civil du moment où l’on constate que la société sombre a grand pas et ceci malheureusement dans la désolation et la sinistrose systématique par rapport a son devenir. Tous les intellectuels du pays doivent inalienablement réagir pour arrêter l’hémorragie qui touche le pays.
La situation politique étriquée du pays est gangréné par l’intox, la désinformation et la rumeur. Il y a de quoi nourrir par louchée entière nos craintes de voir tout nos espoirs reportés a la saint glinglin. Idriss ne cesse de promettre la justice, le développement, l équité etc.… et tout ce que vous imaginer comme « phraséologies prêt à porter »que tout le monde connaît par cœur.
La valeur ajoutée n est pas distribuée a bon escient.il ne faut être cependant grand clerc pour s apercevoir que la situation découle de notre immobilisme par rapport a ce que le régime cherche a perpétuer. Nous sommes relativement suspicieux quant a la situation qui prévaut actuellement dans le pays.les conditions de sécurité a l intérieur du pays sont loin d être optimal et nous ramène a dire que c est purement et simplement une lapalissade.
Les finances publiques sont gérées non comme un secteur névralgique mais plutôt comme appareil servant de vache laitière pour financer et entretenir la machine de guerre qu’Idriss a mis en place, bref pour pérenniser les désirs inassouvis du détenteur du pouvoir de Ndjamena.
Voyons l exemple des nominations aux différents postes de responsabilités pour s apercevoir comment le pays fonctionne.la morosité et le marasme économique n interpellent presque personnes au sein du régime.
Au lieu que l état sert de régulateur stratégique, il se retrouve avec cette connotation de « propriétaire gestionnaire ».
La presse dithyrambique du régime doit se rappeler de l éthique et de ce que l histoire lui réservera.les tchadiens doivent unanimement refuser cette paix de motus bouche cousue qu’Idriss nous impose. Les responsables du pays doivent savoir qu’on ne peut pas tromper tout un peuple tout le temps car la méconnaissance abyssale qui dont souffre le régime par rapport au peuple d en bas finira par s éclater et laisser au grand jour les dégâts qu’ils ont fait subir a ce pays.
Ils doivent savoir que ce peuple n est pas une patte molle et tôt ou tard le vent de la justice, de l égalité et du développement souffleront. Le peuple doit être débarrassé de ces bachaghas qui l encombre.
Le bleuff, le mensonge, la roublardise et la corruption sont devenues monnaie courante au sein de l administration civile et militaire du pays.nos intellectuels doivent songer sans vantardise ni prétention démesurée à réveiller graduellement le peuple de ces léthargies profondes. Nous savons tous que les moyens font défaut mais avec de la pugnacité nous réussirons a relevé le défit. « La non stratégie elle revient assez chere, gardons nous alors de ramer, de tout les cotes a bord de la chaloupe, avant de nous assurer que par le fond, elle n’est pas trouée. »Nous devrons dire non au centre d affaire privilégie pour l action prédatrice mal gré de camoufler l injustice patente a l opinion international alors que c est un secret de polichinelle que le paroxysme de l injustice est déjà atteint.
Les tchadiens dans leur majorité doivent se serrer les coudes dans ces moments difficiles et crée une union nationale loin des sempiternelles querelles pour stopper le projet machiavélique qu’Idriss essaye de péréniser.le désordre actuel ne prépare que le triomphe de la loi du plus fort. Même si les difficultés de la vie vous harassent, même si vous pensez non sans raison que le système est en train de rendre fou tout le monde, les hommes politiques, les responsables de la société civile bref tous les intellectuels doivent prendre la sage résolution d en finir avec la démission patriotique ambiante. Les signes prédictifs de la somatisation du Tchad ne sont pas loin du moment ou le régime et son mentor ne sont pas prêt de revenir a la raison afin de réunir autour d une même table toutes les parties en conflits et trouver une issue a l impasse actuelle.
La politique est un engagement citoyen et par conséquent elle se retrouve en parfaite inadéquation avec la réalité.
Idriss n a aucune notion d homme d etat.la décrédibilise du système est entretenue juste pour sauvegarder les acquis matérielles malsains de la famille au pouvoir et de celles de ces allies.
L état du pays ne cesse de se dégrader sur tous les plans alors que les indicateurs économiques affichent un revenu pétrolière nette hausse.
La France protectrice du régime ne veut pas être impartial et se montrer incisive par rapport a son allie.
L imbroglio politique qui prévaut au Tchad fait partie des signes avant coureurs d une déstabilisation profonde qui plane a l horizon. Pour en finir il y a autant de champs incommensurables à défricher pour les semailles de demain, mais pour être utile efficace, efficient dans le quotidien social national : tous les politiciens sont dans l obligation engagée de véhiculer les mêmes valeurs. En parfaite conjugaison et synergie sociale, a la stratégie de paix nationale que j appel de tout mes vœux. A défaut de cela nous ne pourrions que subir le statut de rebelle et de persona non grata dans un monde anthropophage ou le grand par excellence dévore le petit par préférence.
A défaut aussi de genie, les cerveaux humains ne peuvent avoir choix, autre que l hybridation multivalente.
MAHMOUD ALI SAID (Alger)
E mail : [email protected]
Depuis des décennies l’histoire de ce pays n’a été qu’incertitude et succession inaltérné d’événements extravagants et superflue.
Hier, c’était des dictatures, aujourd’hui une démocratie destructrice de toutes les valeurs d’une république digne de ce nom.
Qu’attend le citoyen d’en bas qui ne cesse de payer les pots cassés tout en sachant pertinemment qu’il a été toujours innocent de toutes les manœuvres dilatoires qui ont conduit a ce qu’il vit aujourd’hui.
Le lot quotidien des tchadiens ne se résume qu’au gout amers de la survie tant capricieuse qu’il tente cahin caha d’appréhender.
Le régime actuel et ces eternels laudateurs soufflent la pluie et le beau temps au détriment du citoyen lambda qui ne sait à quel saint se vouer.
Si l’on arrive à s’exprimer trivialement IDRISS DEBY et ses sbires veulent vraisemblablement le beurre et l’argent du beurre. Voyons l’exemple alarmant de la gestion abracadabrantesque du pays. Le peuple voit son unité s’effriter du jour au lendemain par les subdivisions ethnique que le régime a crée et tente de perpétuer malgré les péripéties que cela suscite au sein des intellectuels au sens propre du terme.
Ou est passé l’opposition civil du moment où l’on constate que la société sombre a grand pas et ceci malheureusement dans la désolation et la sinistrose systématique par rapport a son devenir. Tous les intellectuels du pays doivent inalienablement réagir pour arrêter l’hémorragie qui touche le pays.
La situation politique étriquée du pays est gangréné par l’intox, la désinformation et la rumeur. Il y a de quoi nourrir par louchée entière nos craintes de voir tout nos espoirs reportés a la saint glinglin. Idriss ne cesse de promettre la justice, le développement, l équité etc.… et tout ce que vous imaginer comme « phraséologies prêt à porter »que tout le monde connaît par cœur.
La valeur ajoutée n est pas distribuée a bon escient.il ne faut être cependant grand clerc pour s apercevoir que la situation découle de notre immobilisme par rapport a ce que le régime cherche a perpétuer. Nous sommes relativement suspicieux quant a la situation qui prévaut actuellement dans le pays.les conditions de sécurité a l intérieur du pays sont loin d être optimal et nous ramène a dire que c est purement et simplement une lapalissade.
Les finances publiques sont gérées non comme un secteur névralgique mais plutôt comme appareil servant de vache laitière pour financer et entretenir la machine de guerre qu’Idriss a mis en place, bref pour pérenniser les désirs inassouvis du détenteur du pouvoir de Ndjamena.
Voyons l exemple des nominations aux différents postes de responsabilités pour s apercevoir comment le pays fonctionne.la morosité et le marasme économique n interpellent presque personnes au sein du régime.
Au lieu que l état sert de régulateur stratégique, il se retrouve avec cette connotation de « propriétaire gestionnaire ».
La presse dithyrambique du régime doit se rappeler de l éthique et de ce que l histoire lui réservera.les tchadiens doivent unanimement refuser cette paix de motus bouche cousue qu’Idriss nous impose. Les responsables du pays doivent savoir qu’on ne peut pas tromper tout un peuple tout le temps car la méconnaissance abyssale qui dont souffre le régime par rapport au peuple d en bas finira par s éclater et laisser au grand jour les dégâts qu’ils ont fait subir a ce pays.
Ils doivent savoir que ce peuple n est pas une patte molle et tôt ou tard le vent de la justice, de l égalité et du développement souffleront. Le peuple doit être débarrassé de ces bachaghas qui l encombre.
Le bleuff, le mensonge, la roublardise et la corruption sont devenues monnaie courante au sein de l administration civile et militaire du pays.nos intellectuels doivent songer sans vantardise ni prétention démesurée à réveiller graduellement le peuple de ces léthargies profondes. Nous savons tous que les moyens font défaut mais avec de la pugnacité nous réussirons a relevé le défit. « La non stratégie elle revient assez chere, gardons nous alors de ramer, de tout les cotes a bord de la chaloupe, avant de nous assurer que par le fond, elle n’est pas trouée. »Nous devrons dire non au centre d affaire privilégie pour l action prédatrice mal gré de camoufler l injustice patente a l opinion international alors que c est un secret de polichinelle que le paroxysme de l injustice est déjà atteint.
Les tchadiens dans leur majorité doivent se serrer les coudes dans ces moments difficiles et crée une union nationale loin des sempiternelles querelles pour stopper le projet machiavélique qu’Idriss essaye de péréniser.le désordre actuel ne prépare que le triomphe de la loi du plus fort. Même si les difficultés de la vie vous harassent, même si vous pensez non sans raison que le système est en train de rendre fou tout le monde, les hommes politiques, les responsables de la société civile bref tous les intellectuels doivent prendre la sage résolution d en finir avec la démission patriotique ambiante. Les signes prédictifs de la somatisation du Tchad ne sont pas loin du moment ou le régime et son mentor ne sont pas prêt de revenir a la raison afin de réunir autour d une même table toutes les parties en conflits et trouver une issue a l impasse actuelle.
La politique est un engagement citoyen et par conséquent elle se retrouve en parfaite inadéquation avec la réalité.
Idriss n a aucune notion d homme d etat.la décrédibilise du système est entretenue juste pour sauvegarder les acquis matérielles malsains de la famille au pouvoir et de celles de ces allies.
L état du pays ne cesse de se dégrader sur tous les plans alors que les indicateurs économiques affichent un revenu pétrolière nette hausse.
La France protectrice du régime ne veut pas être impartial et se montrer incisive par rapport a son allie.
L imbroglio politique qui prévaut au Tchad fait partie des signes avant coureurs d une déstabilisation profonde qui plane a l horizon. Pour en finir il y a autant de champs incommensurables à défricher pour les semailles de demain, mais pour être utile efficace, efficient dans le quotidien social national : tous les politiciens sont dans l obligation engagée de véhiculer les mêmes valeurs. En parfaite conjugaison et synergie sociale, a la stratégie de paix nationale que j appel de tout mes vœux. A défaut de cela nous ne pourrions que subir le statut de rebelle et de persona non grata dans un monde anthropophage ou le grand par excellence dévore le petit par préférence.
A défaut aussi de genie, les cerveaux humains ne peuvent avoir choix, autre que l hybridation multivalente.
MAHMOUD ALI SAID (Alger)
E mail : [email protected]