Communiqué n°015/UFCD/CC/2008
La condamnation par la cour criminelle de N’Djamena des responsables des mouvements politico-militaires et de l’ex-Président Habré est une plaisanterie de mauvais goût. Le but de cette orchestration est de détourner l’opinion nationale et internationale des crimes odieux perpétrés par Deby avant, pendant et après les combats qui se sont déroulés à N’Djamena du 2 au 3 février 2008.
Tout le monde sait que Deby est passé maître dans l’art de la diversion. Par ce subterfuge, Deby et son gouvernement ont choisi de masquer leur responsabilité patente dans les violations massives des droits de l’homme et les destructions du patrimoine national relevé par le rapport de la commission d’enquête.
L’acte posé par la « justice » tchadienne ne cache pas moins une intention de soustraire de la Justice sénégalaise l’ex-Président poursuivi pour des crimes dont Deby est le principal co-auteur. L’UFCD condamne fermement cette attitude irresponsable de Deby qui cherche à distraire le monde et noyer le rapport dont les conclusions étaient attendues par la communauté nationale et internationale.
Fait à Moudéina le 18 août 2008
Le Commissaire adjoint à la Communication, Porte-parole
DJEDE KOURTOU GAMAR
La condamnation par la cour criminelle de N’Djamena des responsables des mouvements politico-militaires et de l’ex-Président Habré est une plaisanterie de mauvais goût. Le but de cette orchestration est de détourner l’opinion nationale et internationale des crimes odieux perpétrés par Deby avant, pendant et après les combats qui se sont déroulés à N’Djamena du 2 au 3 février 2008.
Tout le monde sait que Deby est passé maître dans l’art de la diversion. Par ce subterfuge, Deby et son gouvernement ont choisi de masquer leur responsabilité patente dans les violations massives des droits de l’homme et les destructions du patrimoine national relevé par le rapport de la commission d’enquête.
L’acte posé par la « justice » tchadienne ne cache pas moins une intention de soustraire de la Justice sénégalaise l’ex-Président poursuivi pour des crimes dont Deby est le principal co-auteur. L’UFCD condamne fermement cette attitude irresponsable de Deby qui cherche à distraire le monde et noyer le rapport dont les conclusions étaient attendues par la communauté nationale et internationale.
Fait à Moudéina le 18 août 2008
Le Commissaire adjoint à la Communication, Porte-parole
DJEDE KOURTOU GAMAR