L'ancien premier ministre Emmanuel Nadingar a déploré ce 28 octobre les conséquences des manifestations : pertes en vies humaines, blessés et casses des biens publics et privés, créant de facto un climat délétère dans le pays.
Tout en regrettant la répression jugée brutale dans une certaine mesure, le président de la Fédération pour la paix universelle appelle les uns et les autres à la retenue, à s'abstenir de tout acte de violence et à prôner définitivement la paix.
Selon Emmanuel Nadingar, le gouvernement ayant les outils nécessaires permettant de faire régner la paix, est appelé à tout mettre en œuvre pour faire perdurer le dialogue entre les populations tchadiennes.
Par ailleurs, pour la résolution de la crise politique tchadienne, quelques recommandations ont été faites par ce dernier, parmi lesquelles :
- une indulgence de la part du président de la transition consistant à libérer les manifestants arrêtés, ce qui permettra de décrisper l'atmosphère politique ;
- rouvrir un cadre de dialogue inter-tchadien réunissant autour d'une table les principaux acteurs politiques et la société civile tchadienne ;
- rediscuter des sujets de désaccords au regard des résolutions et recommandations du DNIS ;
- mettre en place un comité de travail sur la cohésion sociale et prendre des mesures fortes pour décrisper l'atmosphère.
Tout en regrettant la répression jugée brutale dans une certaine mesure, le président de la Fédération pour la paix universelle appelle les uns et les autres à la retenue, à s'abstenir de tout acte de violence et à prôner définitivement la paix.
Selon Emmanuel Nadingar, le gouvernement ayant les outils nécessaires permettant de faire régner la paix, est appelé à tout mettre en œuvre pour faire perdurer le dialogue entre les populations tchadiennes.
Par ailleurs, pour la résolution de la crise politique tchadienne, quelques recommandations ont été faites par ce dernier, parmi lesquelles :
- une indulgence de la part du président de la transition consistant à libérer les manifestants arrêtés, ce qui permettra de décrisper l'atmosphère politique ;
- rouvrir un cadre de dialogue inter-tchadien réunissant autour d'une table les principaux acteurs politiques et la société civile tchadienne ;
- rediscuter des sujets de désaccords au regard des résolutions et recommandations du DNIS ;
- mettre en place un comité de travail sur la cohésion sociale et prendre des mesures fortes pour décrisper l'atmosphère.