À l'occasion de la Semaine nationale de la femme tchadienne (SENAFET), deux thèmes étaient au centre d'un débat le 3 mars dernier, dans la grande salle du projet de renforcement de la productivité des exploitations agropastorales familiales et résilience (RePER) de la ville de Mongo. En lançant ces assises, Mme Moremene Brigitte, responsable du genre et ciblage, a fait savoir que la femme est au cœur de toutes les circonstances. Ainsi, les deux thèmes qui ont fait l'objet du débat au cours de la conférence ont réuni plusieurs femmes venant du Tchad profond.
Le premier thème était axé sur « les instruments juridiques de lutte contre les violences basées sur le genre ». Il a été animé par un inspecteur du ministère de la Femme et par Mme Djimié Weledna. Ils ont tout d’abord présenté quelques lois, décrets, textes et protocoles régissant les droits de la femme et les valeurs qui lui ont été accordés à l'échelle mondiale et nationale, tout en expliquant le protocole de Mapato qui donne du poids à la femme. Après la présentation du thème, des questions ont été posées, surtout sur la vulgarisation de ces textes qui sont laissés dans les tiroirs. Globalement, les femmes se plaignent de la non-application des textes.
Le second thème portait sur « les femmes tchadiennes face aux préjugés : stratégie de sensibilisation pour le changement de comportement et mentalité ». Il a été développé par Abdelaziz Aladj Damalia et Mme Morememe Brigitte du projet PARSAT/RePER. Cette dernière a évoqué les préjugés et la discrimination qui ont un impact sur les stratégies de lutte.
En effet, la femme est négligée, alors que la société doit prendre conscience de son rôle. Pour sa part, Abdelaziz Aladj Damalia a relevé que l'implication des femmes dans les structures administratives est limitée. Elles ne participent pas activement dans les domaines clés. Des questions et suggestions ont marqué la conférence, surtout sur la discrimination. À l'issue des débats, de recommandations ont été adoptées.
Le premier thème était axé sur « les instruments juridiques de lutte contre les violences basées sur le genre ». Il a été animé par un inspecteur du ministère de la Femme et par Mme Djimié Weledna. Ils ont tout d’abord présenté quelques lois, décrets, textes et protocoles régissant les droits de la femme et les valeurs qui lui ont été accordés à l'échelle mondiale et nationale, tout en expliquant le protocole de Mapato qui donne du poids à la femme. Après la présentation du thème, des questions ont été posées, surtout sur la vulgarisation de ces textes qui sont laissés dans les tiroirs. Globalement, les femmes se plaignent de la non-application des textes.
Le second thème portait sur « les femmes tchadiennes face aux préjugés : stratégie de sensibilisation pour le changement de comportement et mentalité ». Il a été développé par Abdelaziz Aladj Damalia et Mme Morememe Brigitte du projet PARSAT/RePER. Cette dernière a évoqué les préjugés et la discrimination qui ont un impact sur les stratégies de lutte.
En effet, la femme est négligée, alors que la société doit prendre conscience de son rôle. Pour sa part, Abdelaziz Aladj Damalia a relevé que l'implication des femmes dans les structures administratives est limitée. Elles ne participent pas activement dans les domaines clés. Des questions et suggestions ont marqué la conférence, surtout sur la discrimination. À l'issue des débats, de recommandations ont été adoptées.