Le 10 février 2014, au quartier Diguel, dans le 8ème arrondissement de la capitale, vers la tombée du soleil, la dame Hadjé Haoua Abba a été crapuleusement assassinée par les individus non identifiés. Les assaillants ont emporté avec eux, une quantité importante d’or estimée à 33Kg dont le montant équivaudrait à 733 millions de FCFA. Dont plus de la moitié appartient à ses créanciers.
Sept (7) mois après, l’assassinat de sa mère, la fille ainée Fatimé Zara Mahamat Ibrahim est sortie de son silence pour interpeller les autorités en charge de la sécurité publique pour que la lumière soit faite. Mais aucune réaction n’est enregistrée jusqu’à nos jours. Sa famille se lasse et ne sait pas à quelle porte faut-il frapper.
En tant que témoin du crime qui a emporté sa mère, elle a décidé de faire un témoignage alarmant sur le déroulement du crime crapuleux, qui reste jusque-là impuni et que les assassins courent encore dans la nature afin d’aider les agents en charge du dossier de relancer les enquêtes mais hélas. C’est dans un état de choc psychologique, qu’elle a accepté de raconter les faits. Elle n’arrête pas de verser de larme, à chaque mot prononcé, à chaque phrase terminée. Mais comme, elle se porte volontaire de faire le récit, elle l’a fait dans un courage extrême. Fatimé Zara raconte : « Après le marché, moi et ma défunte mère, rentrons comme d’habitude à la maison, à la tombée du soleil. Ce jour-là, nous avons quitté vers 17H du marché, arrivé au virage où se trouve notre concession, un homme à moto a fait semblant d’accident et laisse tomber son engin devant le taxi qui nous transportait. Il a commencé par se tirailler avec le chauffeur et nous demande de descendre de la voiture. Nous avons opposé une résistance. Certains de ses amis qui nous suivaient, sont venus en renfort et veulent arracher de force les marchandises que tenait ma défunte. J’ai crié en vain. Comme ils étaient armés, personne n’est venu à notre secours. Ma mère s’est battu avec les assassins, parce qu’elle ne voulait pas perdre les marchandises de ses créanciers. Ils lui ont tiré dessus et ont emporté les marchandises. Ainsi, c’est la fin d’une vie d’être et les fruits de ses sueurs…»
Fatimé interpelle le Chef de l’Etat pour que la justice soit faite. Elle lui adresse un message particulier en ce terme : « Nous sommes des citoyens comme tout d’autre et nous réclamons que de la justice. Les assassins de ma mère ont emporté les biens qui n’appartiennent pas à elle. Ses créanciers ne nous fichent pas la paix. Monsieur, le président, en tant que garant de tous les tchadiens, aidez-nous à faire la lumière sur ce crime afin de payer les dettes de ma défunte mère pour que son âme repose en paix ». Que la justice soit idéale pour tous.
Sept (7) mois après, l’assassinat de sa mère, la fille ainée Fatimé Zara Mahamat Ibrahim est sortie de son silence pour interpeller les autorités en charge de la sécurité publique pour que la lumière soit faite. Mais aucune réaction n’est enregistrée jusqu’à nos jours. Sa famille se lasse et ne sait pas à quelle porte faut-il frapper.
En tant que témoin du crime qui a emporté sa mère, elle a décidé de faire un témoignage alarmant sur le déroulement du crime crapuleux, qui reste jusque-là impuni et que les assassins courent encore dans la nature afin d’aider les agents en charge du dossier de relancer les enquêtes mais hélas. C’est dans un état de choc psychologique, qu’elle a accepté de raconter les faits. Elle n’arrête pas de verser de larme, à chaque mot prononcé, à chaque phrase terminée. Mais comme, elle se porte volontaire de faire le récit, elle l’a fait dans un courage extrême. Fatimé Zara raconte : « Après le marché, moi et ma défunte mère, rentrons comme d’habitude à la maison, à la tombée du soleil. Ce jour-là, nous avons quitté vers 17H du marché, arrivé au virage où se trouve notre concession, un homme à moto a fait semblant d’accident et laisse tomber son engin devant le taxi qui nous transportait. Il a commencé par se tirailler avec le chauffeur et nous demande de descendre de la voiture. Nous avons opposé une résistance. Certains de ses amis qui nous suivaient, sont venus en renfort et veulent arracher de force les marchandises que tenait ma défunte. J’ai crié en vain. Comme ils étaient armés, personne n’est venu à notre secours. Ma mère s’est battu avec les assassins, parce qu’elle ne voulait pas perdre les marchandises de ses créanciers. Ils lui ont tiré dessus et ont emporté les marchandises. Ainsi, c’est la fin d’une vie d’être et les fruits de ses sueurs…»
Fatimé interpelle le Chef de l’Etat pour que la justice soit faite. Elle lui adresse un message particulier en ce terme : « Nous sommes des citoyens comme tout d’autre et nous réclamons que de la justice. Les assassins de ma mère ont emporté les biens qui n’appartiennent pas à elle. Ses créanciers ne nous fichent pas la paix. Monsieur, le président, en tant que garant de tous les tchadiens, aidez-nous à faire la lumière sur ce crime afin de payer les dettes de ma défunte mère pour que son âme repose en paix ». Que la justice soit idéale pour tous.