"Est-on Président à vie quand on est Président du Tchad ?", cette question d'un journaliste français a poussé le dirigeant tchadien à faire des révélations sur sa volonté initiale de quitter le pouvoir en 2006, et des pressions extérieures qui auraient conduit à changer la constitution à l'issue du référendum de juin 2005.
"Je ne suis pas un homme heureux, je n'ai jamais été un homme heureux. Vous comprenez ? J'aurais souhaité, en 2002, m'arrêter comme j'avais promis, au second mandat, c'est-à-dire qu'en 2006, je devais céder aux suivants. La guerre a éclaté. Le pays était en guerre", a justifié le dirigeant du Tchad.
Idriss Déby s'était promis de quitter le pouvoir en 2006
"Pour l'histoire", Idriss Déby a également souligné que ce n'était pas son souhait de modifier la constitution tchadienne à l'issue du référendum de juin 2005. "La France est intervenue pour changer la constitution. J'ai refusé et je n'ai pas fait la campagne. C'est toujours la France qui fait, qui critique et qui est derrière. Ce n'est pas Déby qui a changé la constitution. En tant que soldat j'ai donner ma parole de quitter le pouvoir en 2006", a déclaré le dirigeant tchadien, dans d'étonnantes révélations faites à des médias occidentaux.
De l'avis d'Idriss Déby, "Deux choses sont intervenues, la guerre et la deuxième chose, c'est la France qui a dit de continuer. Aujourd'hui, ce sont ceux là même qui ont changé la constitution qui me critiquent. La durée dans ces fonctions n'est jamais une bonne chose, mais il ne faut pas laisser le pays dans le désordre".
"Je ne suis pas un homme heureux, je n'ai jamais été un homme heureux. Vous comprenez ? J'aurais souhaité, en 2002, m'arrêter comme j'avais promis, au second mandat, c'est-à-dire qu'en 2006, je devais céder aux suivants. La guerre a éclaté. Le pays était en guerre", a justifié le dirigeant du Tchad.
Idriss Déby s'était promis de quitter le pouvoir en 2006
"Pour l'histoire", Idriss Déby a également souligné que ce n'était pas son souhait de modifier la constitution tchadienne à l'issue du référendum de juin 2005. "La France est intervenue pour changer la constitution. J'ai refusé et je n'ai pas fait la campagne. C'est toujours la France qui fait, qui critique et qui est derrière. Ce n'est pas Déby qui a changé la constitution. En tant que soldat j'ai donner ma parole de quitter le pouvoir en 2006", a déclaré le dirigeant tchadien, dans d'étonnantes révélations faites à des médias occidentaux.
De l'avis d'Idriss Déby, "Deux choses sont intervenues, la guerre et la deuxième chose, c'est la France qui a dit de continuer. Aujourd'hui, ce sont ceux là même qui ont changé la constitution qui me critiquent. La durée dans ces fonctions n'est jamais une bonne chose, mais il ne faut pas laisser le pays dans le désordre".