La Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension culturelle le 8 mars dernier à Bongor. À la direction provinciale de l’Office National des Médias Audiovisuels (ONAMA) station de Bongor, il été organisé une cérémonie de remise des prix aux lauréates de jeux concours dénommés « Mon école, mon champion » et « Election Miss SENAFET/JIF », première édition à l’hôtel moderne de la ville. Une activité qui a mobilisé les établissements publics et privés, parents sortis massivement pour apprécier le talent de leur progéniture.
Cette année à Bongor, l’organisation de cette Journée aura été particulière, avec une compétition inter-établissements, à travers une émission radiophonique créée pour valoriser les capacités intellectuelles des filles et leur offrir un cadre de brassage, de réjouissance, selon la directrice provinciale de l’ONAMA, Mme Remadji Oriont Odette. Cette édition pionnière a réuni 14 établissements publics et privés de la ville de Bongor qui se sont affrontés du 1er au 7 mars, dans quatre différents corbeilles, en direct sur les antennes de la FM 96.0. Les candidates de chaque corbeille ont su se défendre jusqu’à la phase finale. En sa qualité de femme et de mère, la directrice de station provinciale de l’ONAMA a été témoin du sérieux, de la discipline et de l’intelligence dont ont fait preuve les filles tout au long de cette compétition.
La déléguée de la Femme et de la Protection de la Petite enfance, dans une émotion de joie, dira que l’organisation de « Mon école, mon champion » a créé un climat de brassage entre les filles venues des différents établissements scolaires et une occasion de faire face au défi de tous les jours. Mme Narcisse Biani pense pour elle que, désormais les femmes ne doivent plus penser qu’il existe un domaine exclusivement réservé aux hommes, ni un domaine où les femmes sont moins compétentes que les hommes. Aux filles, la déléguée de la Femme et de la Protection de la Petite enfance dit qu’elles ont marqué de leurs empreintes, cette édition 2021 de la SENAFET.
La soirée a pris fin avec l’élection de Miss SENAFET/JIF où Mme Milka Raissa du Lycée Mamira de Bongor a été sacrée, Fida Haouvang Flavienne du Lycée Jacques Moudeina, 2ème dauphine et le titre de 1ère dauphine revenant à Raikassou Djibetsou de la Cité des sciences. Le rendez-vous a été pris pour la deuxième édition.
Cette année à Bongor, l’organisation de cette Journée aura été particulière, avec une compétition inter-établissements, à travers une émission radiophonique créée pour valoriser les capacités intellectuelles des filles et leur offrir un cadre de brassage, de réjouissance, selon la directrice provinciale de l’ONAMA, Mme Remadji Oriont Odette. Cette édition pionnière a réuni 14 établissements publics et privés de la ville de Bongor qui se sont affrontés du 1er au 7 mars, dans quatre différents corbeilles, en direct sur les antennes de la FM 96.0. Les candidates de chaque corbeille ont su se défendre jusqu’à la phase finale. En sa qualité de femme et de mère, la directrice de station provinciale de l’ONAMA a été témoin du sérieux, de la discipline et de l’intelligence dont ont fait preuve les filles tout au long de cette compétition.
La déléguée de la Femme et de la Protection de la Petite enfance, dans une émotion de joie, dira que l’organisation de « Mon école, mon champion » a créé un climat de brassage entre les filles venues des différents établissements scolaires et une occasion de faire face au défi de tous les jours. Mme Narcisse Biani pense pour elle que, désormais les femmes ne doivent plus penser qu’il existe un domaine exclusivement réservé aux hommes, ni un domaine où les femmes sont moins compétentes que les hommes. Aux filles, la déléguée de la Femme et de la Protection de la Petite enfance dit qu’elles ont marqué de leurs empreintes, cette édition 2021 de la SENAFET.
La soirée a pris fin avec l’élection de Miss SENAFET/JIF où Mme Milka Raissa du Lycée Mamira de Bongor a été sacrée, Fida Haouvang Flavienne du Lycée Jacques Moudeina, 2ème dauphine et le titre de 1ère dauphine revenant à Raikassou Djibetsou de la Cité des sciences. Le rendez-vous a été pris pour la deuxième édition.