Vue de la Place de la Nation. à N'Djamena, capitale du Tchad. © Abdoulaye Barry/ Jeune Afrique
La plateforme revendicative et le gouvernement négocient toujours pour trouver une solution définitive sur les 16 mesures d'austérité prise par ce dernier pour juguler la crise économique et financière difficile, due à la chute du prix du pétrole sur le marché international.
Pour permettre de laisser une chance à la négociation, la plateforme syndicale a décidé de suspendre de manière unilatérale la grève pour trois semaines, allant du lundi 13 février au 6 mars 2017.
Elle semble avoir obtenu gain de cause sur cinq points de revendication, à savoir le paiement des pensions de retraités, veuves et orphelins, le paiement des primes de concours et examens du secondaire et ceux des recherches à ceux du supérieur, le paiement de salaire des fonctionnaires à terme échu et le frais de transport.
Deux points importants constituent un blocus dans la négociation entre le gouvernement et ses partenaires sociaux, notamment sur la loi N°032 du 31 décembre 2016 relative à l'exercice de la grève dans le secteur public et sur la suspension du décret N°687 portant réduction des indemnités des agents de l'État.
Face à cet obstacle majeur pouvant entraîner une rupture des négociations avec ses partenaires sociaux, le gouvernement propose la création du Haut Comité Technique Ministériel dirigé par le Premier Ministre et composé de membres du gouvernement, des Syndicats et du Comité National du Dialogue Social (CNDS) pour pencher sur cette question épineuse.
Après l'expiration de la trêve le 6 mars prochain, sans qu'aucune solution ne puisse être trouvée entre les deux partis, les centrales syndicales se verront dans l'obligation de reprendre la grève pour contraindre le gouvernement à revenir sur sa décision.
Pour rappel, ces 16 mesures d'austérité prise par le gouvernement de façon unilatérale ont fait l'objet de contestations par la plupart des centrales syndicales, ayant pour conséquence une paralysie dans tous les secteurs publics vitaux du pays pendant 4 mois.
Pour permettre de laisser une chance à la négociation, la plateforme syndicale a décidé de suspendre de manière unilatérale la grève pour trois semaines, allant du lundi 13 février au 6 mars 2017.
Elle semble avoir obtenu gain de cause sur cinq points de revendication, à savoir le paiement des pensions de retraités, veuves et orphelins, le paiement des primes de concours et examens du secondaire et ceux des recherches à ceux du supérieur, le paiement de salaire des fonctionnaires à terme échu et le frais de transport.
Deux points importants constituent un blocus dans la négociation entre le gouvernement et ses partenaires sociaux, notamment sur la loi N°032 du 31 décembre 2016 relative à l'exercice de la grève dans le secteur public et sur la suspension du décret N°687 portant réduction des indemnités des agents de l'État.
Face à cet obstacle majeur pouvant entraîner une rupture des négociations avec ses partenaires sociaux, le gouvernement propose la création du Haut Comité Technique Ministériel dirigé par le Premier Ministre et composé de membres du gouvernement, des Syndicats et du Comité National du Dialogue Social (CNDS) pour pencher sur cette question épineuse.
Après l'expiration de la trêve le 6 mars prochain, sans qu'aucune solution ne puisse être trouvée entre les deux partis, les centrales syndicales se verront dans l'obligation de reprendre la grève pour contraindre le gouvernement à revenir sur sa décision.
Pour rappel, ces 16 mesures d'austérité prise par le gouvernement de façon unilatérale ont fait l'objet de contestations par la plupart des centrales syndicales, ayant pour conséquence une paralysie dans tous les secteurs publics vitaux du pays pendant 4 mois.