La cérémonie s'est déroulée en présence de plusieurs membres du gouvernement et des délégués généraux des onze provinces du Tchad.
Lors de son allocution, le ministre de l'Eau et de l'Énergie, Passalet Kanabé Marcelin, a souligné que ce projet d'électrification est bien plus qu'un simple projet d'infrastructure ; il est essentiel pour le développement économique, l'amélioration des conditions de vie, l'inclusion sociale et le bien-être des citoyens.
Il a également noté que l'accès à l'électricité stimulerait la création d'emplois, favoriserait le développement industriel et artisanal, et améliorerait les services de santé et d'éducation. Il a rappelé que, malgré ses vastes ressources, le Tchad a un des taux d'accès à l'électricité les plus faibles au monde, moins de 15% contre une moyenne de 51% en Afrique aujourd'hui, et un des prix du kilowattheure les plus élevés.
Ce projet, financé par la Banque mondiale, démontre la volonté du gouvernement de la 5ème République de renforcer les infrastructures énergétiques du pays et de promouvoir l'utilisation des énergies renouvelables pour une transition énergétique durable.
"L'énergie est un droit fondamental et nous nous engageons à ce que chaque Tchadien, où qu'il soit, puisse en bénéficier", a affirmé le ministre, ajoutant que grâce à la vision du Président de la République, la capacité énergétique du pays est passée de moins de 50MW à 150MW en moins d'un an. Bien que cette capacité reste inférieure à la demande, le gouvernement, avec le soutien de partenaires et d'investisseurs privés, espère résoudre la crise énergétique à court terme.
Le projet, nommé « Projet d'Accroissement de l'Accès à l'Énergie Électrique au Tchad (PAAET) », coûtera environ 295 millions de dollars US, soit environ 180 milliards de FCFA, et est entièrement financé par la Banque mondiale.
La Banque mondiale, qui finance également de nombreux autres projets sous forme de dons, est le principal contributeur au financement des projets d'accès à l'électricité au Tchad.
Le ministre d'État des Finances, du Budget, de l'Économie et du Plan, Tahir Hamid Nguilin, a rappelé que le programme politique du chef de l'État vise à atteindre un taux d'accès à l'énergie de 90 % dans toutes les villes d'ici 2030, grâce à la contribution de divers partenaires.
Le Premier ministre, Allah Maye Halina, a souligné que cet événement historique mobilise la province de Hadjar Lamis dans toute sa diversité, reflétant un soutien indéfectible au programme politique du Chef de l'État. Ce projet marque une étape décisive vers l'indépendance énergétique du Tchad et vise à rendre l'eau et l'énergie accessibles à tous, impactant positivement la vie des citoyens.
Lors de son allocution, le ministre de l'Eau et de l'Énergie, Passalet Kanabé Marcelin, a souligné que ce projet d'électrification est bien plus qu'un simple projet d'infrastructure ; il est essentiel pour le développement économique, l'amélioration des conditions de vie, l'inclusion sociale et le bien-être des citoyens.
Il a également noté que l'accès à l'électricité stimulerait la création d'emplois, favoriserait le développement industriel et artisanal, et améliorerait les services de santé et d'éducation. Il a rappelé que, malgré ses vastes ressources, le Tchad a un des taux d'accès à l'électricité les plus faibles au monde, moins de 15% contre une moyenne de 51% en Afrique aujourd'hui, et un des prix du kilowattheure les plus élevés.
Ce projet, financé par la Banque mondiale, démontre la volonté du gouvernement de la 5ème République de renforcer les infrastructures énergétiques du pays et de promouvoir l'utilisation des énergies renouvelables pour une transition énergétique durable.
"L'énergie est un droit fondamental et nous nous engageons à ce que chaque Tchadien, où qu'il soit, puisse en bénéficier", a affirmé le ministre, ajoutant que grâce à la vision du Président de la République, la capacité énergétique du pays est passée de moins de 50MW à 150MW en moins d'un an. Bien que cette capacité reste inférieure à la demande, le gouvernement, avec le soutien de partenaires et d'investisseurs privés, espère résoudre la crise énergétique à court terme.
Le projet, nommé « Projet d'Accroissement de l'Accès à l'Énergie Électrique au Tchad (PAAET) », coûtera environ 295 millions de dollars US, soit environ 180 milliards de FCFA, et est entièrement financé par la Banque mondiale.
La Banque mondiale, qui finance également de nombreux autres projets sous forme de dons, est le principal contributeur au financement des projets d'accès à l'électricité au Tchad.
Le ministre d'État des Finances, du Budget, de l'Économie et du Plan, Tahir Hamid Nguilin, a rappelé que le programme politique du chef de l'État vise à atteindre un taux d'accès à l'énergie de 90 % dans toutes les villes d'ici 2030, grâce à la contribution de divers partenaires.
Le Premier ministre, Allah Maye Halina, a souligné que cet événement historique mobilise la province de Hadjar Lamis dans toute sa diversité, reflétant un soutien indéfectible au programme politique du Chef de l'État. Ce projet marque une étape décisive vers l'indépendance énergétique du Tchad et vise à rendre l'eau et l'énergie accessibles à tous, impactant positivement la vie des citoyens.