Dans son discours d’ouverture, le Directeur administratif du CRASH, Djimet Seli, a souligné que la relation entre les médias et les FDS reste souvent tendue, surtout lorsque les médias ne sont pas d’obédience gouvernementale. « Cette problématique mérite d’être abordée avec sérieux, compte tenu de son importance dans le contexte sécuritaire actuel du Tchad et de la sous-région », a-t-il déclaré.
Il a rappelé que si les FDS sont les principaux garants de la sécurité, les médias, en tant qu’acteurs influents de l’opinion publique, possèdent un pouvoir double : celui d’apaisement comme celui de déstabilisation. « Travailler en synergie, c’est transformer ces forces parallèles en un levier commun pour faire face aux défis multiformes », a-t-il affirmé.
De son côté, le directeur de la Coopération suisse, Peter Bieler, a insisté sur la posture du journaliste dans ce type de collaboration :
Il a ajouté qu'une interaction constructive avec les forces de l’ordre est essentielle :
Peter Bieler a conclu en appelant les journalistes à jouer pleinement leur rôle :
Cet atelier marque une étape importante dans la redéfinition des rapports entre les médias et les forces de sécurité, dans un esprit de collaboration constructive, au service de la paix et de la stabilité.
Il a rappelé que si les FDS sont les principaux garants de la sécurité, les médias, en tant qu’acteurs influents de l’opinion publique, possèdent un pouvoir double : celui d’apaisement comme celui de déstabilisation. « Travailler en synergie, c’est transformer ces forces parallèles en un levier commun pour faire face aux défis multiformes », a-t-il affirmé.
De son côté, le directeur de la Coopération suisse, Peter Bieler, a insisté sur la posture du journaliste dans ce type de collaboration :
« Il y a des moments où il faut simplement observer, et d'autres où il faut creuser davantage, c’est-à-dire parler à ceux qui ont la compétence. En tant que journalistes, vous êtes au cœur de cette dynamique. Vous pouvez choisir de soutenir le plus fort ou le plus faible, ou bien chercher un terrain d’entente. »
Il a ajouté qu'une interaction constructive avec les forces de l’ordre est essentielle :
« Dans une relation potentiellement conflictuelle, mieux vaut comprendre que confronter. Il faut garder à l’esprit que c’est la vérité qu’il faut chercher, et non la confirmation de rumeurs ou d’idées préconçues. »
Peter Bieler a conclu en appelant les journalistes à jouer pleinement leur rôle :
« Le Tchad a besoin de vous, en tant qu’acteurs clés du paysage médiatique, pour construire un environnement d’information crédible, qui permette à la population de se forger une opinion éclairée. »
Cet atelier marque une étape importante dans la redéfinition des rapports entre les médias et les forces de sécurité, dans un esprit de collaboration constructive, au service de la paix et de la stabilité.