Le député du Parti pour les Libertés et le Développement (PLD), Ousmane Chérif a fait, ce vendredi 13 mars 2017, au Centre Culturel Almtuna, un point de presse relatif à la demande de sa démission de l'Assemblée Nationale formulée par sa formation politique pour éviter de cautionner les forfaitures du pouvoir du président Idriss Deby Itno, violant gravement les dispositions de la constitution, d'après leur propre terme.
Le député frondeur Ousman Chérif a annoncé au cours de ce point de presse qu’il poursuivrait son mandat jusqu'à la mise en place d'une nouvelle assemblée nationale élue, en brandissant l'article 113 de la constitution qui stipule que « Le député représente la nation » et la loi constitutionnelle N11/PR/2015 portant prorogation de la 3ème législature, qui répondent, d'après lui, aux préoccupations de Alhabo quant à la légalité de l'Assemblée Nationale.
Il se plaint d’être tenu à l'écart des décisions importantes à prendre au niveau du parti malgré le fait qu'il soit le seul député du parti, ce qui est dû, d'après lui, à l'antipathie entretenu à son égard par Alhabo. Le député du Parti pour les Libertés et le Développement (PLD), Ousmane Chérif reproche au secrétaire général adjoint du parti, Alhabo, d'avoir rendu le PLD, considéré comme le parti des cadres, en une coquille vide due à la gestion selon ses humeurs, et d'avoir développé dans son fief, lors des élections présidentielles, au sein du parti, une sorte de communautarisme très dangereux pour le PLD et le Tchad.
Il ajoute que le comportement sectaire du premier responsable d'un parti conduit à des dérapages aux conséquences incalculables comme la violence observée à Abeche lors de la campagne présidentielle. « Lorsqu'il était ministre de l'éducation, surtout lors des états généraux de l'éducation organisé en octobre 1994, il a soutenu et obtenu que les matières religieuses ne doivent pas figurer dans les classes des examens et que les matières scientifiques ne devraient être, selon lui, enseignées qu'en français, mêmes dans les écoles arabophones. Les électeurs de nos fiefs, ne lui ont pas pardonné cette marginalisation de l'enseignement de l'arabe et de l'éducation religieuse dans les écoles arabophones. Par ailleurs, le concubinage du PLD avec l'UNDR de Kebzabo accouche souvent de monstre dangereux pour la paix et la stabilité de notre pays. Cette opposition qui n'hésite pas à manger à tous les rateliers , tout en lorgnant vers l'étranger commence par montrer ses limites et a dévoilé sa vraie face. A vouloir tout et son contraire, à vouloir être trop malin, un jour, elle tombera dans ses propres pièges et finira de façon minable », a martelé le député frondeur du PLD, Ousmane Chérif.
Par conséquent, il demande à Alhabo, accusé d'être le premier responsable de ce naufrage politique du PLD, de présenter sa démission lors du prochain congrès.
Le député frondeur Ousman Chérif a annoncé au cours de ce point de presse qu’il poursuivrait son mandat jusqu'à la mise en place d'une nouvelle assemblée nationale élue, en brandissant l'article 113 de la constitution qui stipule que « Le député représente la nation » et la loi constitutionnelle N11/PR/2015 portant prorogation de la 3ème législature, qui répondent, d'après lui, aux préoccupations de Alhabo quant à la légalité de l'Assemblée Nationale.
Il se plaint d’être tenu à l'écart des décisions importantes à prendre au niveau du parti malgré le fait qu'il soit le seul député du parti, ce qui est dû, d'après lui, à l'antipathie entretenu à son égard par Alhabo. Le député du Parti pour les Libertés et le Développement (PLD), Ousmane Chérif reproche au secrétaire général adjoint du parti, Alhabo, d'avoir rendu le PLD, considéré comme le parti des cadres, en une coquille vide due à la gestion selon ses humeurs, et d'avoir développé dans son fief, lors des élections présidentielles, au sein du parti, une sorte de communautarisme très dangereux pour le PLD et le Tchad.
Il ajoute que le comportement sectaire du premier responsable d'un parti conduit à des dérapages aux conséquences incalculables comme la violence observée à Abeche lors de la campagne présidentielle. « Lorsqu'il était ministre de l'éducation, surtout lors des états généraux de l'éducation organisé en octobre 1994, il a soutenu et obtenu que les matières religieuses ne doivent pas figurer dans les classes des examens et que les matières scientifiques ne devraient être, selon lui, enseignées qu'en français, mêmes dans les écoles arabophones. Les électeurs de nos fiefs, ne lui ont pas pardonné cette marginalisation de l'enseignement de l'arabe et de l'éducation religieuse dans les écoles arabophones. Par ailleurs, le concubinage du PLD avec l'UNDR de Kebzabo accouche souvent de monstre dangereux pour la paix et la stabilité de notre pays. Cette opposition qui n'hésite pas à manger à tous les rateliers , tout en lorgnant vers l'étranger commence par montrer ses limites et a dévoilé sa vraie face. A vouloir tout et son contraire, à vouloir être trop malin, un jour, elle tombera dans ses propres pièges et finira de façon minable », a martelé le député frondeur du PLD, Ousmane Chérif.
Par conséquent, il demande à Alhabo, accusé d'être le premier responsable de ce naufrage politique du PLD, de présenter sa démission lors du prochain congrès.