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Le projet d'interconnexion des réseaux électriques entre le Cameroun et le Tchad sera officiellement lancé ce 21 novembre 2023 à Yaoundé par M. Gaston Eloundou Essomba, le ministre de l'Eau et de l'Énergie du Cameroun. Cette cérémonie a eu lieu en présence d’une délégation tchadienne réunie à Yaoundé pour l'occasion.
D’après la Cameroon Radio and Television (CRTV), ce projet coutera 450 milliards FCFA.
En 2021, le projet avait reçu un apport significatif avec l’ouverture par la Banque mondiale (BM) d’une ligne de crédit de 305 millions de dollars, soit 178 milliards de FCFA pour sa réalisation. Il sera notamment question de construire 1319 kilomètres de lignes de transport ainsi que des équipements connexes de haute tension, de moyenne tension et de basse tension afin d’acheminer l’énergie du Cameroun vers le Tchad, ce qui permettra de couvrir 478 localités en électricité.
Selon la Banque mondiale, le financement de ce projet se situe dans son importance, non seulement du fait de son impact sur la vie des populations riveraines, mais également parce qu’il s’agit d’un projet intégrateur de haute portée devant apporter un coup d’accélérateur au développement des pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) en particulier et ceux de l’Afrique de manière générale.
D’après la Cameroon Radio and Television (CRTV), ce projet coutera 450 milliards FCFA.
En 2021, le projet avait reçu un apport significatif avec l’ouverture par la Banque mondiale (BM) d’une ligne de crédit de 305 millions de dollars, soit 178 milliards de FCFA pour sa réalisation. Il sera notamment question de construire 1319 kilomètres de lignes de transport ainsi que des équipements connexes de haute tension, de moyenne tension et de basse tension afin d’acheminer l’énergie du Cameroun vers le Tchad, ce qui permettra de couvrir 478 localités en électricité.
Selon la Banque mondiale, le financement de ce projet se situe dans son importance, non seulement du fait de son impact sur la vie des populations riveraines, mais également parce qu’il s’agit d’un projet intégrateur de haute portée devant apporter un coup d’accélérateur au développement des pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) en particulier et ceux de l’Afrique de manière générale.