Ousman Ahmat Kosseï, Préfet (Tchad).
L’Union Nationale des Etudiants Tchadiens(UNET) qui n’est en réalité qu’une Union N’djamenoise des Etudiants Têtus (UNET) détient-elle une autorisation de fonctionner régie par article 5 de l’ordonnance N° 7/INT/SUR du 28 juillet 1962 ?
On n’a nullement besoin d’être un étudiant doctorant en première année de l’université du Tchad pour s’assurer que l’UNET a fonctionné depuis 1977 dans l’illégalité totale. Elle n’est ni plus ni moins une bande des étudiants copains et coquins tapis dans l’ombre détournant les bourses réservées aux étudiants fictifs ,décédés, suspendus , redoublants, mutés, expatriés, intégrés, malades, fous, démissionnaires ,déserteurs .Selon des sources fiables certains membres de l’UNET avaient construit des villas ,acheté des voitures de dernier cri, ouvert des comptes bancaires et d’autres étaient devenus des étudiants polygames, étudiants chefs de canton .
Des étudiants villageois-bourgeois qui ne savent pas planter un arbre mais prompte â déguster les fruits, bloquer la circulation, casser les édifices publics, bref des partisans de la violence qui ne participent aux cours qu’une fois par mois par trimestre voire par semestre ont écrit sans la moindre vergogne : université à vendre ! Heureusement qu’ils ont écrit le mot université au singulier pour designer l’université de N’djamena.
Durant la grève, dans la mêlée, la débandade, oh ! Comble et comédie de ridicule, un étudiant, en forme plus qu’une gorille d’une foret tropicale, en escaladant le mur du plus grand lycée du Tchad a failli laisser son pantalon de Moriba aux mains d’un flic avant d’être cueilli comme une mangue mure par la sentinelle qui montait la garde de sa progéniture nombreuse.une pluie des bâtons et deviner la suite….
De ce qui précède, je conseille aux étudiants de reprendre les cours et négocier parallèlement et pacifiquement l’épineuse question de bourses sans exposer leurs bourses génitales aux policiers ! Les bourses d’accord mais les diplômes et la dignité de sous vêtements d’abord !
A tous ceux qui pensent comme moi qu’il faut supprimer les bourses d’études, dissoudre l’UNET qui n’est qu’une union locale , amicale et illegale, ouvrir les restaurants au profit des étudiants, impliquer le ministère de moralisation dans les systèmes de gestions des nos universités en vue de déterminer les responsabilités ………………….je leur dis l’Assurance d’un Préfet-Assureur !
OUSMANE AHMAT KOSSEI, Préfet-Assureur
On n’a nullement besoin d’être un étudiant doctorant en première année de l’université du Tchad pour s’assurer que l’UNET a fonctionné depuis 1977 dans l’illégalité totale. Elle n’est ni plus ni moins une bande des étudiants copains et coquins tapis dans l’ombre détournant les bourses réservées aux étudiants fictifs ,décédés, suspendus , redoublants, mutés, expatriés, intégrés, malades, fous, démissionnaires ,déserteurs .Selon des sources fiables certains membres de l’UNET avaient construit des villas ,acheté des voitures de dernier cri, ouvert des comptes bancaires et d’autres étaient devenus des étudiants polygames, étudiants chefs de canton .
Des étudiants villageois-bourgeois qui ne savent pas planter un arbre mais prompte â déguster les fruits, bloquer la circulation, casser les édifices publics, bref des partisans de la violence qui ne participent aux cours qu’une fois par mois par trimestre voire par semestre ont écrit sans la moindre vergogne : université à vendre ! Heureusement qu’ils ont écrit le mot université au singulier pour designer l’université de N’djamena.
Durant la grève, dans la mêlée, la débandade, oh ! Comble et comédie de ridicule, un étudiant, en forme plus qu’une gorille d’une foret tropicale, en escaladant le mur du plus grand lycée du Tchad a failli laisser son pantalon de Moriba aux mains d’un flic avant d’être cueilli comme une mangue mure par la sentinelle qui montait la garde de sa progéniture nombreuse.une pluie des bâtons et deviner la suite….
De ce qui précède, je conseille aux étudiants de reprendre les cours et négocier parallèlement et pacifiquement l’épineuse question de bourses sans exposer leurs bourses génitales aux policiers ! Les bourses d’accord mais les diplômes et la dignité de sous vêtements d’abord !
A tous ceux qui pensent comme moi qu’il faut supprimer les bourses d’études, dissoudre l’UNET qui n’est qu’une union locale , amicale et illegale, ouvrir les restaurants au profit des étudiants, impliquer le ministère de moralisation dans les systèmes de gestions des nos universités en vue de déterminer les responsabilités ………………….je leur dis l’Assurance d’un Préfet-Assureur !
OUSMANE AHMAT KOSSEI, Préfet-Assureur