L'association des autorités coutumières et traditionnelles de la province du Logone Occidental a donné un ultimatum de 3 jours au comité de gestion des 5% des revenus pétroliers pour se justifier devant la population.
Initialement, un délai de 7 jours avait été accordé au comité pour faire un compte-rendu à mi-parcours de la gestion de ces 5%, mais le comité n'a pas répondu.
Les chefs de canton estiment que ces 5% des revenus pétroliers doivent servir à des priorités sociales comme l'eau potable, les centres de santé et les écoles, mais ce n'est pas le cas selon eux.
Après 2 ans d'exercice, les autorités traditionnelles disent avoir constaté que les membres du comité s'embrouillent avec des papiers dans leur bureau au lieu de rendre des comptes.
L'association réitère sa demande de présentation du bilan à mi-parcours de la gestion des 5% dans un délai n'excédant pas le 31 juillet 2024, pour éviter tout dérapage ou propagande inutile.
Enfin, l'association demande aux personnes qui se substituent à l'autorité traditionnelle pour s'adresser à la population d'arrêter cet amalgame, car seul le comité choisi par les chefs de canton peut parler en leur nom.
En résumé, les autorités traditionnelles exercent une pression sur le comité de gestion des 5% des revenus pétroliers pour obtenir des comptes-rendus et une meilleure transparence dans l'utilisation de ces fonds.
Initialement, un délai de 7 jours avait été accordé au comité pour faire un compte-rendu à mi-parcours de la gestion de ces 5%, mais le comité n'a pas répondu.
Les chefs de canton estiment que ces 5% des revenus pétroliers doivent servir à des priorités sociales comme l'eau potable, les centres de santé et les écoles, mais ce n'est pas le cas selon eux.
Après 2 ans d'exercice, les autorités traditionnelles disent avoir constaté que les membres du comité s'embrouillent avec des papiers dans leur bureau au lieu de rendre des comptes.
L'association réitère sa demande de présentation du bilan à mi-parcours de la gestion des 5% dans un délai n'excédant pas le 31 juillet 2024, pour éviter tout dérapage ou propagande inutile.
Enfin, l'association demande aux personnes qui se substituent à l'autorité traditionnelle pour s'adresser à la population d'arrêter cet amalgame, car seul le comité choisi par les chefs de canton peut parler en leur nom.
En résumé, les autorités traditionnelles exercent une pression sur le comité de gestion des 5% des revenus pétroliers pour obtenir des comptes-rendus et une meilleure transparence dans l'utilisation de ces fonds.