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OPPOSITION

Tchad: Mohamad Ahmad Kébir répond à « Abou Zahra AlMazloum »


Alwihda Info | Par - ҖЭBIЯ - - 29 Août 2008


Je mets au défi cette taupe de la DDS qui peine actuellement à trouver un équilibre social, qu'elle ne trouvera nulle part dans les annales de l'histoire du Tchad un seul membre de ma famille qui serait impliqué dans la gestion scabreuse des affaires de l'Etat, ni pendant le régime défunt ni dans l'actuel régime.


Tchad: Mohamad Ahmad Kébir répond à « Abou Zahra AlMazloum »
Si j'ai un combat à mener dans l'immédiat, et j'en ai un effectivement car je m'y prépare activement, ce serait d'abord un combat contre toute cette bande qui a été impliquée, à un moment ou à un autre de l'histoire, dans la destruction et la mise en lambeaux du Tchad avant de m'occuper de la question du régime actuel. J'aurais dû déclarer la guerre au régime MPS à partir de 1993 parce qu'à l'issue de cette année-là, plusieurs de mes proches parents, oncles, cousins et grands-parents avaient péri dans les massacres perpétrés par le régime actuel contre les populations civiles à N'Djamena, à Chokoyan et à Ngninguilim. Je ne l'ai pas faite (la déclaration de guerre) sur-le-champ parce qu'après examen de conscience, la sagesse a prévalu sinon je m'aurais retrouvé un jour devant un tribunal pénal pour répondre d' « acte de barbarie ». Je n'ai pas donné cette occasion à l'histoire. Cette prise de position ne s'était pas agi comme une renonciation à demander réparation aux auteurs des crimes commis contre mes proches mais c'était plutôt un ajournement de l'affaire. Et je dis à ce barbare de « Abou Zahra AlMazloum » que je n'ai pas encore commencé mon combat contre le régime MPS.

Que ce barbare ait la mémoire fraîche! Sinon je ne me prive pas une seule seconde pour la lui rafraîchir. J'ai déjà laissé entendre dire, au risque de me répéter maintenant, que l'UFCD que je représente et dont je défends les projets en France, dans l'Union européenne voire partout dans le monde, a deux formes de combats à mener pour le salut du Tchad. Ces deux combats, l'UFCD les mènera courageusement et les gagnera. Nous ne sommes pas pressés. Nous pouvons nous battre encore pendant 30 ans s'il le faut pour réussir ce pari. Le premier combat consiste donc à mettre de l'ordre dans la pagaille actuelle qui sévit à l'Est. L'UFCD se voit investie des prérogatives de restructurer la vraie rébellion, celle qui se bat pour une cause juste, cette rébellion qui n'a jamais été impliquée ni du temps de l'ancien régime ni de celui de l'actuel dans des actes de crimes, de barbarie, de détournement de deniers publics et autres actes graves ayant affecté les populations tchadiennes. L'UFCD se doit de remettre de l'ordre face à cette anarchie qui perdure déjà depuis si longtemps avant de s'évertuer à mener le combat ultime.

Le barbare d' « Abou Zahra AlMazloum », qui est le tout premier à m'avoir appelé pour me féliciter et chanter pour moi pendant d'interminables minutes ses louanges lugubres le jour où il a appris que je représente les intérêts de l'UFCD à l'Extérieur, sait quelque chose de moi. Et je n'ai pas besoin de lui dire ici qui je suis pour qu'il me connaisse davantage. Pour ma part, tout ce que je sais de lui, c'est que c'est un misérable crieur public qui sème la zizanie d'abord au sein de la rébellion armée puis dans la banlieue parisienne dans la perspective de prétendre obnubiler les errements des dignitaires du régime défunt. Il croit de cette façon redorer le blason et tout le monde sait pourquoi. Ce n'est pas pour rien que Mansour Abbas Mahamat a dû préférer le régime MPS aux futilités auxquelles il a malencontreusement appartenu. Je sais que ce misérable n'a pas pu dormir pendant deux jours pour ne trouver que ces cochonneries à dire. Mais je dois lui promettre que désormais il ne trouvera plus jamais le sommeil.

Je mets au défi cette taupe de la DDS qui peine actuellement à trouver un équilibre social, qu'elle ne trouvera nulle part dans les annales de l'histoire du Tchad un seul membre de ma famille qui serait impliqué dans la gestion scabreuse des affaires de l'Etat, ni pendant le régime défunt ni dans l'actuel régime.

Quant à la promptitude de son instinct animal à citer le nom de son Maître incontesté, sa bête noire on va dire, Ahmat Yacoub, c'est parce que ce dernier fait parti de ceux qui luttent avec acharnement pour que l'ancien dictateur tchadien soit traduit devant un tribunal pour ses crimes (contre l'humanité!) commis de 1982 à 1990. Ce que ce barbare feint d'ignorer, c'est qu'il connaît Ahamat Yacoub bien avant moi. Bien que Yacoub soit de la même région que mes parents, il n'y a qu'un rapport intellectuel qui nous lie, comme c'est le cas avec d'autres compatriotes d'ailleurs. Mais notre barbare, je suis désolé de le divulguer, est bien celui qui véhicule de fausses informations sur Ahmat Yacoub en passant par de tierces personnes pour le diffamer sur la Toile. Les langues ont commencé par se délier et tous ceux-là auxquels il livre les « informations » calomnieuses ont commencé par le dénoncer. J'ai des preuves irréfutables et tout le monde saura le moment venu. Mais le comble c'est qu'il appelle souvent Ahmat Yacoub pour lui chanter des louanges, pensant ainsi se dédouaner de tout soupçon. J'ai d'autres éléments à charges qui pèsent sur cette ordure et qui seront rendus publics prochainement. Et ce sera la catastrophe! Les Tchadiens doivent connaître toute la vérité sur le passé mais aussi sur le présent de ceux qui prétendent parler et agir en leur nom. Les Soudanais aussi doivent connaître la vérité.

Jusqu'à preuve du contraire, il n'a point existé d' « alliance nationale » au Tchad et cette incongruité n'existe que dans la psychose des bluffeurs. L'on ne convainc pas les Tchadiens par du mensonge. Les pleurnicheries défaitistes d'un certain « Abou Zahra AlMazloum » ne me feront guère dire le contraire. Et j'irai même plus loin pour lui dire que je combattrai de toute mon existence les farfelus de son espèce qui agissent dans l'ombre comme c'est le cas. Il faut essayer d'aller ricaner ailleurs. Je suis plus tchadien que ce revenant d'arriviste dont les cochonneries n'émeuvent pas la particule hypéron delta. Ce n'est pas par l'usage d'insanités et des mots dits « gros », (selon lui en tout cas) dont il ignore totalement la signification qu'il croit pouvoir impressionner les Tchadiens. Qu'entendent ses maîtres par « alliance »? Que savent-ils du « national »? Prend-on les Tchadiens pour qui en fait? Attention! Il ne faut pas s'amuser outre mesure. Le temps n'est pas à la rigolade. Tout petit rigolo de son acabit nous trouvera sur son chemin. Qu'ils se contentent d'« hiberner » dans leur illusion et laisser les patriotes chauvins s'atteler pour le Changement et la Démocratie au Tchad.

Tchad: Mohamad Ahmad Kébir répond à « Abou Zahra AlMazloum »
MOHAMAD AHMAD KEBIR


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