Le secrétaire général de l’Association des Écrivains et Auteurs Tchadiens d’Expression Française (ASEAT), Sosthène Mbernodji. Alwihda Info
Le Patronat de la Presse Tchadienne (PPT) et l’Association des Écrivains et Auteurs Tchadiens d’Expression Française (ASEAT), ont signé ce 9 décembre 2017, à la Maison des Médias du Tchad, un accord de partenariat permettant d’accompagner les écrivains dans la vulgarisation du festival littéraire « Le souffle de l’Harmattan » par le Patronat de la Presse Tchadienne et surtout à former les chroniqueurs littéraires à court terme par les écrivains.
Le secrétaire général de l’Association des Écrivains et Auteurs Tchadiens d’Expression Française (ASEAT), Sosthène Mbernodji, dans un entretien accordé à Alwihda Info à la fin de cette rencontre, a indiqué que son association s’engage à prêter main forte en terme de correction des morasses, de relecture et à donner des formations de base sur la littérature, l’écriture littéraire aux journalistes. L'association s'engage surtout à se projeter ensemble pour réfléchir à une imprimerie commune et faire face au prix élevé de l’impression.
Alwihda Info. Quel est l’objet de votre concertation avec le Patronat de la Presse Tchadienne (PPT) que vous venez d’avoir ?
Sosthène Mbernodji : Le Patronat de la Presse Tchadienne (PPT) et l’Association des Écrivains et Auteurs Tchadiens d’Expression Française (ASEAT) viennent d’avoir une jolie rencontre puisque les journalistes, de leur côté, écrivent et les écrivains, de leur côté, produisent des livres.
Ces deux entités peuvent être utiles. On a eu à discuter sur un certain nombre de choses puisqu’on est uni par le coût de valeur. Les journaux membres du PPT ont décidé de nous accompagner pendant le festival. Nous également, du côté des écrivains, avons prévu des rencontres, de formation des chroniqueurs littéraires et tout ceux qui exercent dans les journaux.
A la longue, on espère avoir un partenariat qui puisse nous permettre d’être ensemble pour corriger les morasses et implanter une imprimerie qui puisse nous aider à produire les journaux et les livres puisque le coût de production reste cher au Tchad. Les intrants qui entrent dans la fabrication des livres, des journaux coutent extrêmement chers.
Je crois qu’on est ressorti ragaillardi de cette rencontre qui n’est pas la dernière. Elle a scellé un certain nombre de chose. Sur le champ, on est tombé d’accord sur beaucoup de points qui nous unissent. Nous sommes ravis de cette rencontre.
Alwihda Info. Sur quels points êtes-vous tombé d’accord ?
Sosthène Mbernodji : Le Patronat de la Presse Tchadienne décide d’accompagner le festival dans la visibilité et la couverture médiatique qui sera assurée totalement. Le Patronat aura un stand des journaux pendant le festival et il décide aussi d’accorder des rubriques littéraires pour faire la promotion de la littérature, des auteurs et des écrits des tchadiens. C’est une bonne chose. Nous, de notre côté, nous, nous engageons à prêter main forte en terme de correction des morasses, de relecture et à donner des formations de base sur la littérature, l’écriture littéraire aux journalistes. On est sorti ravi de cette rencontre.
Propos recueillis par Djimet Wiché
Le secrétaire général de l’Association des Écrivains et Auteurs Tchadiens d’Expression Française (ASEAT), Sosthène Mbernodji, dans un entretien accordé à Alwihda Info à la fin de cette rencontre, a indiqué que son association s’engage à prêter main forte en terme de correction des morasses, de relecture et à donner des formations de base sur la littérature, l’écriture littéraire aux journalistes. L'association s'engage surtout à se projeter ensemble pour réfléchir à une imprimerie commune et faire face au prix élevé de l’impression.
Alwihda Info. Quel est l’objet de votre concertation avec le Patronat de la Presse Tchadienne (PPT) que vous venez d’avoir ?
Sosthène Mbernodji : Le Patronat de la Presse Tchadienne (PPT) et l’Association des Écrivains et Auteurs Tchadiens d’Expression Française (ASEAT) viennent d’avoir une jolie rencontre puisque les journalistes, de leur côté, écrivent et les écrivains, de leur côté, produisent des livres.
Ces deux entités peuvent être utiles. On a eu à discuter sur un certain nombre de choses puisqu’on est uni par le coût de valeur. Les journaux membres du PPT ont décidé de nous accompagner pendant le festival. Nous également, du côté des écrivains, avons prévu des rencontres, de formation des chroniqueurs littéraires et tout ceux qui exercent dans les journaux.
A la longue, on espère avoir un partenariat qui puisse nous permettre d’être ensemble pour corriger les morasses et implanter une imprimerie qui puisse nous aider à produire les journaux et les livres puisque le coût de production reste cher au Tchad. Les intrants qui entrent dans la fabrication des livres, des journaux coutent extrêmement chers.
Je crois qu’on est ressorti ragaillardi de cette rencontre qui n’est pas la dernière. Elle a scellé un certain nombre de chose. Sur le champ, on est tombé d’accord sur beaucoup de points qui nous unissent. Nous sommes ravis de cette rencontre.
Alwihda Info. Sur quels points êtes-vous tombé d’accord ?
Sosthène Mbernodji : Le Patronat de la Presse Tchadienne décide d’accompagner le festival dans la visibilité et la couverture médiatique qui sera assurée totalement. Le Patronat aura un stand des journaux pendant le festival et il décide aussi d’accorder des rubriques littéraires pour faire la promotion de la littérature, des auteurs et des écrits des tchadiens. C’est une bonne chose. Nous, de notre côté, nous, nous engageons à prêter main forte en terme de correction des morasses, de relecture et à donner des formations de base sur la littérature, l’écriture littéraire aux journalistes. On est sorti ravi de cette rencontre.
Propos recueillis par Djimet Wiché